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Monde du travail – Page 13 – Union Communiste Libertaire Montpellier
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Monde du travail


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    Comprendre pour lutter (épisode 7 et 8)

    16 Mar 2016

     

    En novembre 2015, nous avions demandé à Richard Abauzit (ancien inspecteur du travail et syndicaliste à Solidaires) de bien vouloir animer une formation publique sur le démantèlement du code du travail. On l’en remercie d’autant plus qu’il a accepté de laisser à notre disposition le texte de la brochure que vous avez entre les mains.

    Avec la loi El Khromi, et à l’image de l’ensemble des dernières réformes (ANI en 2013, lois Sapin, Macron, et Rebsamen) et rapports publiés (rapports Combrexelle, Mettling, Badinter), le gouvernement détruit toutes les conquêtes sociales pour donner tout pouvoir aux patrons. L’analyse de Richard Abauzit permet de rendre lisible la cohérence de l’ensemble de ces textes, et d’anticiper ce que veulent nous imposer les patrons.

    La réalité pour des millions de personnes, c’est que nos conditions de vie se précarisent quels que soient les gouvernements en place. L’État, loin d’être un instrument neutre au service de l’intérêt général, confirme encore son rôle de défense des intérêts des classes dominantes. En même temps qu’il cherche à liquider ce que la bourgeoisie et lui même ont dû concéder sous l’effet des luttes ouvrières, il criminalise ceux et celles qui luttent, comme le montre la répression des syndicalistes de Goodyear ou des salariées d’Air France. Parallèlement aux régressions sociales, les gouvernements se dotent d’outils sécuritaires toujours plus liberticides, visant à museler et criminaliser toute contestation.

    Au-delà du refus de ces régressions, on peut aussi remettre en question la propriété privée des moyens de production, envisager ce qu’on produit, comment on le produit, en fonction de nos besoins et des préoccupations environnementales. En un mot, c’est bien du système économique capitaliste et de ses menaces d’effondrement permanentes dont nous devons nous libérer. Inventons des espaces collectifs de construction et de mise en œuvre d’un modèle sociétal vivable et émancipateur, basé sur l’égalité économique et sociale et non plus sur l’exploitation de la majorité au profit d’une minorité.

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    Par Groupe Un Autre Futur Monde du travail

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    Comprendre pour lutter (épisode 5 et 6)

    16 Mar 2016

     

    En novembre 2015, nous avions demandé à Richard Abauzit (ancien inspecteur du travail et syndicaliste à Solidaires) de bien vouloir animer une formation publique sur le démantèlement du code du travail. On l’en remercie d’autant plus qu’il a accepté de laisser à notre disposition le texte de la brochure que vous avez entre les mains.

    Avec la loi El Khromi, et à l’image de l’ensemble des dernières réformes (ANI en 2013, lois Sapin, Macron, et Rebsamen) et rapports publiés (rapports Combrexelle, Mettling, Badinter), le gouvernement détruit toutes les conquêtes sociales pour donner tout pouvoir aux patrons. L’analyse de Richard Abauzit permet de rendre lisible la cohérence de l’ensemble de ces textes, et d’anticiper ce que veulent nous imposer les patrons.

    La réalité pour des millions de personnes, c’est que nos conditions de vie se précarisent quels que soient les gouvernements en place. L’État, loin d’être un instrument neutre au service de l’intérêt général, confirme encore son rôle de défense des intérêts des classes dominantes. En même temps qu’il cherche à liquider ce que la bourgeoisie et lui même ont dû concéder sous l’effet des luttes ouvrières, il criminalise ceux et celles qui luttent, comme le montre la répression des syndicalistes de Goodyear ou des salariées d’Air France. Parallèlement aux régressions sociales, les gouvernements se dotent d’outils sécuritaires toujours plus liberticides, visant à museler et criminaliser toute contestation.

    Au-delà du refus de ces régressions, on peut aussi remettre en question la propriété privée des moyens de production, envisager ce qu’on produit, comment on le produit, en fonction de nos besoins et des préoccupations environnementales. En un mot, c’est bien du système économique capitaliste et de ses menaces d’effondrement permanentes dont nous devons nous libérer. Inventons des espaces collectifs de construction et de mise en œuvre d’un modèle sociétal vivable et émancipateur, basé sur l’égalité économique et sociale et non plus sur l’exploitation de la majorité au profit d’une minorité.

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/03/5-rebsamen-A5.pdf »]

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    Par Groupe Un Autre Futur Monde du travail

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    Comprendre pour lutter (épisode 3 et 4)

    16 Mar 2016

     

    En novembre 2015, nous avions demandé à Richard Abauzit (ancien inspecteur du travail et syndicaliste à Solidaires) de bien vouloir animer une formation publique sur le démantèlement du code du travail. On l’en remercie d’autant plus qu’il a accepté de laisser à notre disposition le texte de la brochure que vous avez entre les mains.

    Avec la loi El Khromi, et à l’image de l’ensemble des dernières réformes (ANI en 2013, lois Sapin, Macron, et Rebsamen) et rapports publiés (rapports Combrexelle, Mettling, Badinter), le gouvernement détruit toutes les conquêtes sociales pour donner tout pouvoir aux patrons. L’analyse de Richard Abauzit permet de rendre lisible la cohérence de l’ensemble de ces textes, et d’anticiper ce que veulent nous imposer les patrons.

    La réalité pour des millions de personnes, c’est que nos conditions de vie se précarisent quels que soient les gouvernements en place. L’État, loin d’être un instrument neutre au service de l’intérêt général, confirme encore son rôle de défense des intérêts des classes dominantes. En même temps qu’il cherche à liquider ce que la bourgeoisie et lui même ont dû concéder sous l’effet des luttes ouvrières, il criminalise ceux et celles qui luttent, comme le montre la répression des syndicalistes de Goodyear ou des salariées d’Air France. Parallèlement aux régressions sociales, les gouvernements se dotent d’outils sécuritaires toujours plus liberticides, visant à museler et criminaliser toute contestation.

    Au-delà du refus de ces régressions, on peut aussi remettre en question la propriété privée des moyens de production, envisager ce qu’on produit, comment on le produit, en fonction de nos besoins et des préoccupations environnementales. En un mot, c’est bien du système économique capitaliste et de ses menaces d’effondrement permanentes dont nous devons nous libérer. Inventons des espaces collectifs de construction et de mise en œuvre d’un modèle sociétal vivable et émancipateur, basé sur l’égalité économique et sociale et non plus sur l’exploitation de la majorité au profit d’une minorité.

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    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/03/4-macron.pdf »]

    Par Groupe Un Autre Futur Monde du travail

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    Comprendre pour lutter (épisodes 1 et 2)

    16 Mar 2016

     

    En novembre 2015, nous avions demandé à Richard Abauzit (ancien inspecteur du travail et syndicaliste à Solidaires) de bien vouloir animer une formation publique sur le démantèlement du code du travail. On l’en remercie d’autant plus qu’il a accepté de laisser à notre disposition le texte de la brochure que vous avez entre les mains.

    Avec la loi El Khromi, et à l’image de l’ensemble des dernières réformes (ANI en 2013, lois Sapin, Macron, et Rebsamen) et rapports publiés (rapports Combrexelle, Mettling, Badinter), le gouvernement détruit toutes les conquêtes sociales pour donner tout pouvoir aux patrons. L’analyse de Richard Abauzit permet de rendre lisible la cohérence de l’ensemble de ces textes, et d’anticiper ce que veulent nous imposer les patrons.

    La réalité pour des millions de personnes, c’est que nos conditions de vie se précarisent quels que soient les gouvernements en place. L’État, loin d’être un instrument neutre au service de l’intérêt général, confirme encore son rôle de défense des intérêts des classes dominantes. En même temps qu’il cherche à liquider ce que la bourgeoisie et lui même ont dû concéder sous l’effet des luttes ouvrières, il criminalise ceux et celles qui luttent, comme le montre la répression des syndicalistes de Goodyear ou des salariées d’Air France. Parallèlement aux régressions sociales, les gouvernements se dotent d’outils sécuritaires toujours plus liberticides, visant à museler et criminaliser toute contestation.

    Au-delà du refus de ces régressions, on peut aussi remettre en question la propriété privée des moyens de production, envisager ce qu’on produit, comment on le produit, en fonction de nos besoins et des préoccupations environnementales. En un mot, c’est bien du système économique capitaliste et de ses menaces d’effondrement permanentes dont nous devons nous libérer. Inventons des espaces collectifs de construction et de mise en œuvre d’un modèle sociétal vivable et émancipateur, basé sur l’égalité économique et sociale et non plus sur l’exploitation de la majorité au profit d’une minorité.

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/03/1-annexe-1.pdf »]

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/03/2-annexe-2.pdf »]

    Par Groupe Un Autre Futur Monde du travail

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    Les enjeux de la loi travail en 12 diapos !

    16 Mar 2016

     

    Merci aux camarades de Lyon !

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    Par Groupe Un Autre Futur Luttes Sociales Monde du travail

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    URGENCE SOCIALE : Mobilisons-nous contre la casse du droit du travail !

    01 Mar 2016

    Voici un communiqué fédéral de la CGA  :

    La Coordination des Groupes Anarchistes dénonce la prétendue « réforme » du droit du travail, en réalité une casse pure et simple. Nous appelons à informer et à se mobiliser pour le retrait de ce projet de loi, qui détruit plus d’un siècle de conquêtes sociales du mouvement ouvrier.

    Ce projet de loi, examiné en première lecture à l’Assemblée début avril et au Sénat en mai, sera adopté avant la fin juin, si nous ne parvenons pas à construire une mouvement de grève et de lutte, massif et combatif.

     

    Jusqu’alors, malgré déjà plusieurs dispositifs dérogatoires instaurés notamment par la loi Macron, le code du travail constituait un minimum légal, les accords de branches et d’entreprises ne pouvaient être que plus protecteurs pour les salarié-e-s. Ce projet de loi inverse complètement cette logique, les accords d’entreprise primeront sur le code du travail, quand bien même ils seront plus défavorables aux salarié-e-s.

     

    Cette inversion de la hiérarchie des normes vise à individualiser au maximum le rapport patron/salarié. L’histoire sociale montre qu’isolé-e-s, les salarié-e-s sont perdant-e-s face aux aspirations antagonistes des patrons. C’est au contraire la reconnaissance d’intérêts communs entre salarié-e-s, le sentiment d’appartenance à une même classe, qui ont permis aux salarié-e-s de mener des luttes collectives, solidaires et d’arracher des droits aux patrons et à l’État. Ce projet de loi poursuit précisément le but inverse.

     

    À défaut d’accord collectif dans l’entreprise, des accords individuels sur les horaires dans les entreprises de moins de cinquante salarié-e-s pourront même être menés. Dans cette même logique d’individualisation, le texte permet le contournement des organisations syndicales. Un syndicat, même majoritaire, ne pourra plus s’opposer à un accord d’entreprise. Il pourra y avoir validation par référendum d’un accord d’entreprise même si les syndicats représentant 70 % des salarié-e-s s’y opposent. L’entreprise est une des structures des plus anti-démocratiques. Si des salarié-e-s renoncent par vote à du salaire ou à du repos, c’est toujours à cause d’une pression, généralement un chantage à la fermeture ou au licenciement.

     

    Sans entrer dans les détails, voici un éventail des régressions rendues possibles par ce projet de loi via les accords d’entreprise. On peut résumer cela à travailler plus, gagner moins et se faire virer sans entrave !

     

    Travailler plus :

    Même en l’absence de difficultés économiques, des accords permettront d’augmenter le temps de travail sans contrepartie. Par exemple, pour les contrats au « forfait jour », la durée hebdomadaire de travail pourra aller jusqu’à 48 heures (et même 60h avec autorisation de l’inspection du travail), le temps de repos minimum descendre sous les 11 heures, le temps de travail journalier passer à 12h. Les apprentis pourront travailler jusqu’à 10h par jour (8h aujourd’hui) et 40h par semaine (35h aujourd’hui). Pour tous les salarié-e-s, les astreintes pourront être comptées comme des temps de repos.

     

    Gagner moins :

    Afin de neutraliser le déclenchement des heures supplémentaires, le temps de travail pourra être calculé sur 3 ans. La norme il y a peu de temps encore étant la semaine ! Les heures supplémentaires pourront être moins rémunérées : le minimum de la majoration est fixé à 10 % (25 % actuellement).

    Dans un but de « développement de l’emploi », les entreprises pourront moduler (comme pour le temps de travail) la rémunération (évidemment à la baisse). Ces changements primeront sur le contrat de travail.

     

    Se faire virer sans entrave :

    Si un-e salarié-e refuse ces changements, il/elle pourra être licencié-e, « pour motif personnel ».

    Il y a un élargissement considérable des motifs de licenciement économique : une baisse de commandes sur plusieurs trimestres (deux !), limitées à la France et à une seule entreprise d’un groupe, devient suffisante.

    Enfin, le plafonnement des indemnités prud’homales fixe un (faible) prix pour les patrons à tous licenciements, sans aucune justification et dans l’arbitraire le plus complet ! Dans le texte actuel du projet de loi, l’indemnité sera fixée par exemple à 3 mois de salaire pour 2 ans d’ancienneté, et à 15 mois pour les salarié-e-s les plus ancien-ne-s (20 ans d’ancienneté et plus). On voit bien là que l’on pourra se faire virer à n’importe quel moment, sans que le patron ait à craindre un recours aux prud’hommes !

     

    Face à ces attaques, une large partie des salarié-e-s, précaires, chômeurs-euses, syndicalistes, réagissent. Une pétition contre le projet de loi a déjà recueilli plus de 800 000 signatures, et ce chiffre est en constante augmentation. Pour faire véritablement reculer le gouvernement, ce mouvement de contestation doit s’affirmer sur les lieux de travail (dans le privé comme dans le public), de formation (lycées, université, etc.), et dans la rue. Nous appelons à construire une mobilisation forte et déterminée, pour montrer que nous sommes prêt-e-s à lutter pour nos conditions de vie et de travail, que nous n’accepterons plus les régressions sociales qui s’empilent au profit des plus riches !

     

    Ainsi, rejoignons toutes les initiatives de grève et de lutte qui s’organisent et œuvrons pour la convergence de nos forces jusqu’au retrait du projet de loi !

     

    Le 1er mars 2016,

    les Relations Extérieures de la CGA


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    Solidarité avec les salariés condamnés de Goodyear

    21 Jan 2016

    Voici un communiqué fédéral de la CGA paru en Janvier 2016
    La peine infligée le 12 janvier 2016 à huit anciens salariés de Goodyear -Amiens, jugés pour avoir séquestré deux cadres pendant 30h, en janvier 2014, dépasse l’entendement. Ces salariés, syndicalistes pour la plupart d’entre eux, ont été condamnés à deux ans de prison, dont neuf mois ferme.

    Un petit rappel des faits est pourtant nécessaire afin de se rappeler qui sont les voyous : ces salariés se battaient contre le projet de l’entreprise qui prévoyait le licenciement de quelque 1250 salariés. Ils se sont battus aussi pour empêcher la reprise en 2009 par la multinationale américaine Titan, dirigée par le milliardaire Maurice Taylor, qui avait annoncé vouloir reprendre l’entreprise avec « zéro salarié » afin de délocaliser l’activité.

    À cinq reprises, l’entreprise a tenté des plans de licenciement. Trois seront suspendus par la justice, les deux autres seront abandonnés suite à la mobilisation ouvrière.

    En 2012, une centaine de plaintes pour harcèlement moral sont déposées contre la direction de Goodyear.

    En octobre 2013, Goodyear tente de licencier 5 salariés protégés : ce sera l’inspection du travail qui annulera cette décision au motif que l’entreprise ne souffre pas de difficultés financières. Fin 2011, Goodyear annonce un chiffre d’affaires de 16 milliards d’euros, et un bénéfice de 251 millions d’euros.

    Alors, non, les voyous ne sont certainement pas les salariés !

     

     

    Faire pression sur le mouvement syndical pour le museler

     

    Après la répression terrible sur les militant-e-s à Air France, la condamnation de l’inspectrice du travail dans l’affaire TEFAL, voici venu le tour des Goodyear. L’enjeu est d’affaiblir le monde syndical quelques mois avant la préparation par le gouvernement et le patronat du chantier de démolition du code du travail et la fin du contrat de travail : faire courber l’échine à tou-te-s ceux et celles qui s’opposent au quotidien à la démolition sociale, qui adoptent une attitude combative et tentent d’inverser le rapport de force que nous imposent patronat et État.

    Le gouvernement est largement complice puisque sur l’exemple des Goodyear, la plainte avait été retirée par les cadres séquestrés ainsi que par la direction. C’est donc le parquet qui a décidé de poursuivre les salariés. Or le parquet dépend du ministère de la Justice. L’État nous prouve encore une fois qu’il n’est donc pas un instrument neutre qui représente l’intérêt général mais bien un instrument de répression au service des dominants.

     

     

    Soutien inconditionnel : face à l’injustice sociale, la violence sociale est légitime !

     

    Quand les inégalités s’accroissent, la lutte sociale est toujours légitime. Pour rappel, 1 % des plus riches ont augmenté leur richesse de 60 % en 20 ans. Les patrons de leur côté viennent de lancer un appel au gouvernement pour renforcer l’exploitation (contrat de travail et indemnités licenciement et prud’homales) en plus des 40 milliards d’allègement fiscal qu’ils ont déjà obtenus.

    A l’inverse, pour les travailleuses et travailleurs, les acquis en termes de protection des droits du travail sont rognés les uns après les autres au fil des politiques d’austérité qui visent à faciliter la course aux bénéfices à court terme des entreprises. La concurrence entre salarié-e-s, les contrats non protégés, la flexibilité conduisent à l’augmentation des arrêts maladie, des burn-out, des suicides au travail.


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    Formation sur les dernières lois de démantèlement du code du travail

    18 Oct 2015

    Le Groupe Un Autre Futur de la Coordination des Groupes Anarchistes organise une formation ouverte à toutes et tous sur les dernières lois de démantèlement du code du travail. La formation sera animée par Richard Abauzit, ancien inspecteur du travail et militant syndicaliste. Parce qu’il est important d’être informé-es pour résister sur son lieu de travail et/ou face à la précarité !

    Rendez-vous le samedi 7 novembre à 17H à La Mauvaise Réputation (20 rue Terral, quartier Ste Anne)

    Par @@_Xavier_@@ Monde du travail

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    Soirée de clôture du cycle sur l’autogestion avec projection/débat et concert

    15 Mai 2015

    Samedi 23 mai 17 h 30 : Soirée de clôture du cycle sur l’autogestion avec projection/débat et concert

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    L’autogestion : une pratique qui existe, pour changer la société ?

    20 Avr 2015

    Proposer un cycle sur l’autogestion, pourquoi ?

    Parce qu’il nous semble que de nombreuses expériences autogestionnaires existent, portées par des collectifs de personnes soucieuses d’expérimenter des relations humaines basées sur l’entraide, la démocratie directe, la responsabilité, la liberté. Pour autant, ces expériences peuvent exister sans nécessairement viser un changement global de société.

    Tenter de mieux définir la notion d’autogestion, en partant d’une réflexion collective issue de ces différentes expériences peut nous aider à affiner notre propre conception de l’autogestion, à travers des questionnements pratiques immédiats.

    Partager nos pratiques, voir comment peuvent se vivre des basculements politiques, en fonction des contextes, pour parcourir une question : L’expérimentation de rapports sociaux différents, à travers les pratiques d’autogestion, peut-elle amener vers des pratiques autogestionnaires, vécues comme outils et chemin de lutte, dans quelles conditions ?

    Dans un moment où le capitalisme nous fait chèrement payer sa crise, où la réaction et le fascisme ont le vent en poupe, il est important d’explorer les voies pouvant mener vers un indispensable changement social sur des bases émancipatrices.

    Les temps d’échange que nous proposons vont s’appuyer sur des vidéos et des intervenant-e-s pour témoigner d’expériences récentes, issues des champs économiques, sociaux et politiques.

    • Vendredi 1er mai à la Mauvaise Réputation (20 rue Terral)
      • Après la manifestation nous nous retrouverons à la Librairie « La Mauvaise Réputation » pour un repas partagé dans une ambiance musicale.
      • à 14h : « L’autogestion une pratique qui existe »

        Table ronde pour échanger sur les conceptions et les pratiques de l’autogestion avec différents collectifs et organisations la pratiquant et/ou s’en réclamant.

    • Cycle sur l’autogestion, suite du programme :
      • Jeudi 7 mai 19h : L’autogestion, une pratique pour se libérer de l’exploitation économique ?

        L’intervention d’un membre de l’imprimerie SCOPIE (anciennement imprimerie 34) qui fonctionne à Toulouse sur des bases égalitaires et autogestionnaires, viendra nourrir des pistes de réponses à cette question. Il nous parlera des réussites, des intérêts mais aussi des difficultés et des limites de l’expérience vécue hier avec la coopérative Imprimerie 34, qui a compté jusqu’à 30 coopérateurs/coopératrices et aujourd’hui avec Scopie.

      • Un court métrage sur une coopérative de coopératives au Venezuela (« Cecosesola », La coopérative de Barquisimeto, 15 min, 2009, Utopias Projet) et un autre sur une usine récupérée par des travailleuses et travailleurs en Argentine (« IMPA Usine récupérée, cité culturelle », 18 min,2009, Collectif Documental Semillas) participeront à enrichir nos réflexions.

    • Mercredi 13 mai 19h : L’autogestion, une pratique émancipatrice pour les femmes ?

      Projection de « ¿Vos, cόmo trabajàs? »- L’autogestion au féminin 51min, 2011, L. Nabonnand et E. Simon [vostfr] suivie d’un débat.
      Ce documentaire aborde la question spécifique des ouvrières dans le mouvement de récupération des usines en Argentine suite à la crise économique de 2001. Il permet d’aborder les questions d’émancipation des femmes dans un processus autogestionnaire, ses avancées comme ses limites dans le cadre d’une société patriarcale …

    • Samedi 23 mai 17 h 30 :
      • Soirée de clôture du cycle sur l’autogestion avec projection/débat + concert
      • Projection du documentaire « L’autogestion, une révolution économique » suivie d’une discussion. 1h25, 2014, Collectif Documental Semillas

        Ce documentaire suit l’expérience de la FASINPAT, une usine de production de céramique récupérée en Argentine. Les travailleurs et travailleuses de la FASINPAT et quelques intellectuels-les nous expliquent concrètement la mise en place et l’organisation de leur pratique de l’autogestion. Un documentaire passionnant par les questions qu’il pose et les perspectives qu’il ouvre.

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