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Répression – Page 12 – Union Communiste Libertaire Montpellier
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Répression


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    Du procès du Royal occupé au procès de Luttopia 003

    03 Mar 2017

    Ce mardi 28 février, dès 8h30, nous étions très nombreux et nombreuses devant la cour d’appel pour soutenir le Royal occupé, menacé d’expulsion et destiné par les nouveaux propriétaires à se transformer en logements de luxe ! Entre 200 et 300 personnes sont en effet venues en solidarité avec le Royal, lieu d’habitation et espace d’activités, de culture populaire, de débats politiques et de soutien aux luttes.

    Après une audience expéditive, le juge a annoncé que le délibéré sera rendu le 30 mars. Le collectif des habitant-e-s du Royal, et tous leurs soutiens, ont affirmé leur volonté de continuer à faire vivre cet espace non-marchand et à porter leurs revendications, dont celle du droit au logement pour tou-te-s.

    Cette mobilisation est importante. Elle rappelle les millions de logements laissés vides, la gentrification, la spéculation immobilière, alors que près de 4 millions de personnes en France sont sans logement ou vivent dans des conditions très précaires ! Elle rappelle également la nécessité d’espaces de rencontres, d’élaboration politique, de solidarité, de soutien aux luttes sociales, visibles et ouverts sur la ville.

    Ainsi nous continuerons à nous mobiliser, à faire vivre la solidarité et la convergence des luttes, contre les inégalités, la répression et tous les systèmes de domination.

    Mardi 9 mars aura lieu le procès de Luttopia03 à 8h30 au TGI. Soyons également nombreuses et nombreux ce jour-là !

    2 articles du Midi Libre concernant le procès du Royal Occupé :

    http://www.midilibre.fr/2017/02/27/royal-occupe-a-montpellier-suivez-en-direct-le-point-presse-du-collectif,1471586.php

    http://www.midilibre.fr/2017/02/28/royal-occupe-a-montpellier-le-delibere-sera-rendu-le-30-mars,1472324.php

     

    Par Groupe Un Autre Futur Autogestion Répression

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    Un projet de loi portant sur « la sécurité publique » : le communiqué de l’AG contre l’état d’urgence et les violences d’état

    27 Fév 2017

    Le 16 février 2017, le projet de loi portant sur « la sécurité publique » a été définitivement adopté au Parlement, avec 34 pour et 5 contre (soit 39 député.es sur 577).

    Ce texte élargit les possibilités d’utilisation des armes à feu de la police nationale mais également de la douane et de la police municipale (quand celle-ci est armée) dans de moindres mesures. Le cadre légal d’utilisation des armes par la police se cale sur celui de la gendarmerie. Cela va dans le sens de la militarisation de la société que l’on connaît depuis plus d’un an d’état d’urgence.

    Avec cette loi, la police pourra faire feu « pour défendre un terrain occupé », si un.e suspect.e tente « d’échapper à leur garde ou à leurs investigations » à condition d’avoir des « raisons réelles et objectives d’estimer probable » que le ou la suspect.e les menace ou menace autrui.

    En plus de l’élargissement du champ de tir de la police, la loi prévoit le doublement des peines pour outrages à agent et outrage en réunion en les calant sur celle pour outrage à magistrat ; c’est à dire jusqu’à un an d’emprisonnement.

    L‘Assemblée Générale de Montpellier contre l’état d’urgence et les Violences d’État dénonce l’officialisation d’un permis de tuer pour la police. Nous dénonçons le prétexte du terrorisme encore une fois mis en avant (comme pour l’état d’urgence), alors que nous voyons bien chaque jour qui sont les cibles prioritaires de la police : les quartiers populaires, comme à Aulnay-sous-Bois, et tous les mouvements de contestation sociale. Nous dénonçons le fait que le gouvernement reprenne à son compte les demandes des syndicats de policiers d’extrême droite (Alliance, Synergie Officiers) et du FN.

    Nous nous battons pour le retrait de la loi « sécurité publique », la levée de l’état d’urgence, la fin de l’impunité policière, et l’abrogation des lois sécuritaires !

    Par Groupe Un Autre Futur Répression Sécuritaire

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    Samedi 25 Février 2016 – 14h30 – Place de la Comédie : rassemblement de soutien à l’expression de BDS 34

    22 Fév 2017

    Le comité BDSF34 est l’objet d’une offensive sans précédent de la part de la Mairie de Montpellier et de la préfecture. Cette offensive porte gravement atteinte à sa liberté d’expression et d’opinion. La mairie interdit toute possibilité de stand « Solidarité avec la Palestine » place de la Comédie, la préfecture envoie sa police et fait convoquer au commissariat trois militants BDS pour port du T-Shirt en raison de la mention « Boycott Israël apartheid ». Ainsi la France est un des seul pays avec Israël (!) à interdire l’appel au boycott !
    Cette offensive est partie intégrante du contexte d’État d’urgence et de régression sociale (Interdiction de manifester et répression pendant la COP21, loi travail imposée, criminalisation des syndicats, répression violente et judiciaire des syndicalistes et des manifestants etc.).
    À ce titre l’attaque contre BDSF34 ne concerne pas seulement les associations, partis et syndicats adhérents au plan national de la Campagne BDS France mais l’ensemble des acteurs du mouvement social, écologique, politique, alternatif. Ensemble ils doivent faire bloc et riposter pour imposer, sur tous les terrains la défense de leur liberté d’expression et d’opinion, notamment en revendiquant l’occupation de l’espace publique comme espace d’information, d’expression et de rencontre avec la population.
    C’est la raison pour laquelle les signataires appellent à une action de réappropriation de l’espace public en vue de réaffirmer ensemble et en acte, notre liberté d’expression et d’opinion, en marquant notre solidarité avec BDSF34.

    Les premiers signataires : AL (Alternative Libertaire) – APLR (Association des Palestiniens du Languedoc-Roussillon) – ADN34 (Arrêt Du Nucléaire 34) – AG Contre l’État d’urgence Montpellier – CCIPPP34 (Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple – Palestinien) – CIMADE (L.R) – CMF (Collectif des Musulmans de France) – Comité BDS France 34 – GIA Montpellier (Comité de Soutien à Georges Ibrahim Abdallah) – CGA (Coordination des Groupes Anarchistes) – CRI (Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie) – Ensemble ! 34 – Les Désobéissants 34 – MAN ( Mouvement pour une Alternative Non-violente) – Maison de la Paix, Amis de l’Arche – NPA 34 ( Nouveau Parti Anticapitaliste) – PG ( Parti de gauche) – Podemos (Cercle de Montpellier) – SOLIDAIRES 34 – UJFP ( Union Juive Française pour la Paix).

    Par Groupe Un Autre Futur Répression

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    Samedi 18 février à 14h : Un nouveau rassemblement en soutien à Théo

    16 Fév 2017

    L’Assemblée Générale contre l’état d’urgence et les violences d’état appelle à rejoindre le rassemblement de soutien à Théo

    Samedi 18 Février à 14h – arrêt de tram St Paul – La Paillade

    STOP aux violences policières Stop aux Violences d’état​


    Face à l’horreur des violences et du viol perpétrés par quatre policiers le 2 Février sur un jeune homme à Aulnay s/bois, l’Assemblée Générale de Montpellier contre l’état d’urgence et les violences d’État tient à témoigner sa solidarité et son soutien au jeune Théo, ainsi qu’à sa famille, ses proches et à la population de son quartier mobilisée. La solidarité avec ce jeune d’ Aulnay s/bois sera présente dans nos  interventions durant toute la campagne que nous menons jusqu’à fin mars contre l’état d’urgence et les violences d’État. L’agression de cet habitant d’Aulnay vient s’ajouter à une liste qui ne cesse de s ‘allonger
    ; les quartiers populaires, les migrant-e-s et le mouvement social sont toujours les cibles et les victimes de la répression et des violences policières. Unissons-nous, organisons-nous pour dire STOP aux matraquages, aux gazages, aux tirs de flash ball, aux mutilations et parfois à la mort.

    STOP aux violences policières, STOP aux violences d’État !
    Justice et Solidarité pour Théo !
    Assemblée Générale de Montpellier contre l’état d’urgence et les violences d’État
    ​Contact : montpellier.anti.etatd’urgence@gmail.com
    Montpellier : Justice Pour Théo Et Tout Les Autres« Si tu en a marre des violences policières, du racisme d’État, de l’impunité que possède la police ! Rejoint nous a St Paul (Paillade) le samedi 18 février a 14h pour un rassemblement en soutien a Théo, à Adama et a toutes les autres victimes de l’institution policière, jamais condamné pour leurs meurtres ».

    SIGNATAIRE : CRI34 – BDSF34 – FUIQP34 – CMM – RED – TABASSAM – AG CONTRE L’ÉTAT D’URGENCE – NPA34

    Communiqué et affiche de l’assemblée Générale de Montpellier contre l’état d’urgence et les violences d’État ci-dessous

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2017/02/2017-02-17-Communiqué-AG-v3-pdf.pdf »]


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    Les mouvements sociaux de Turquie et du Kurdistan avaient prévenu : Erdoğan instaure un véritable État fasciste en Turquie !

    16 Fév 2017

    Un communiqué du secrétariat aux Relations Internationales de la Coordination des Groupes Anarchistes

    Depuis la nuit du 15 au 16 juillet 2016, pas un jour ne passe sans que nous parviennent des nouvelles inquiétantes en provenance des territoires sous la domination de l’État turc (dans et hors les frontières officiellement reconnues). Le dictateur Recep Tayyip Erdoğan a habilement saisi l’occasion quand une poignée de nostalgiques des coups d’État militaires a tenté un coup d’éclat en instrumentalisant quelques poignées de soldats du contingent et quelques vulgaires sous-officiers et autres officiers de seconde zone. Si les avis divergent au sujet des motivations originelles des putchistes (ou pseudo-putchistes), la seule certitude qui reste est que la machine étatique turque, dont le gouvernail est tenu par l’AKP et son leader charismatique Erdoğan, en a bien profité pour éliminer les voix dissidentes, même les plus mesurées.

    Des dizaines de personnes (surtout des militaires) ont été abattues le soir de la tentative de putsch. Ensuite, ce sont des milliers de gens qui ont été emprisonnées sous des prétextes plus fallacieux les uns que les autres et même des dizaines de milliers de personnes, en particulier
    des fonctionnaires, ont été licenciées. Erdoğan et sa clique ont mené une large purge dans tout l’appareil d’État, et même au-delà, contre toutes les personnes qui sortaient un tant soit peu du rang. Sous prétexte de traquer les partisans de Gülen (un ancien ami d’Erdoğan, désormais accusé de la tentative de putsch et de fomenter contre l’État), l’Etat-AKP a mis en place une législation d’urgence qui l’autorise à toutes les exactions possibles contre les journalistes, les intellectuel-le-s et les opposant-e-s. Plusieurs journaux et chaînes de télévision ont été forcées à fermer, de très nombreuses-x journalistes ont été emprisonné-e-s et l’État turc fait même des pressions pour empêcher la diffusion satellite hors de ses frontières de chaînes dissidentes, comme la chaîne kurde Med Nuçe (qui était diffusé par la compagnie française Eutelsat).

    C’est la gauche de Turquie et du Kurdistan qui subit le plus fortement cette situation. Prise en étau entre d’un côté l’AKP qui a éliminé ou fait rentrer dans le rang tous ses rivaux conservateurs (gülénistes, kémalistes du CHP ou ultranationalistes du MHP) et l’État Islamique qui continue de mener des attentats sanglants dans les grandes villes turques et dans la zone kurde dominée par la Turquie, en ciblant particulièrement les progressistes et les révolutionnaires, celles-ci et ceux-ci sont contraints de se réfugier à l’étranger ou de passer à la clandestinité et la résistance armée. Les marges de manœuvre se réduisent à vue d’œil. Des centaines d’attaques ont eu lieu par des membres de l’AKP ou des mercenaires contre des locaux de la gauche, en particulier du BDP (parti kurde) et du HDP (coalition de la gauche de la gauche de Turquie et du Kurdistan, dont fait partie le BDP), les parlementaires du HDP se sont vus retirer leurs indemnités parlementaires, les maires-ses HDP ont été destitué-e-s et remplacé-e-s par des pantins de l’AKP, une douzaine de responsables HDP a été emprisonnée.Des intellectuel-le-s proches de l’opposition, et même des journalistes étrangèr-e-s, ont été arrêté-e-s, comme par exemple Asli Erdoğan (remise en liberté sous la pression internationale).

    Une étudiante française, Ebru Fırat, partie combattre l’Etat Islamique aux côtés des YPG et YPJ (milices kurdes au Rojava) est toujours emprisonnée. Arrêtée en septembre 2016, elle a écopé de 5 ans de prison pour son combat pour la liberté, contre l’obscurantisme et pour son soutien au processus révolutionnaire du Rojava, alors qu’elle rentrait en France. Un militant de l’Action Anarchiste Révolutionnaire (DAF : Devrimci Anarşist Faaliyet), Hüseyin Civan, a quant à lui écopé en décembre d’un an et trois mois de prison pour les activités menées avec son organisation, notamment le soutien au peuple kurde en lutte contre l’Etat turc et contre les réactionnaires de tout poil en Syrie. DAF, déjà dans le collimateur de l’Etat auparavant en raison de son activisme social, est gravement menacé, de même que la sécurité de ses membres. Un autre camarade anarchiste, déjà emprisonné, Umut Fırat Süvarioğulları a entamé mi-décembre une grève de la faim pour protester contre son transfert dans une prison de haute sécurité et les conditions de vie auxquels il est confronté. Il lui a fallu 55 jours (jusqu’au 5 février 2017) de lutte acharnée pour que ses revendications soient entendues et satisfaites. Nous saluons sa victoire contre l’Etat fasciste turc et son administration pénitentiaire.

    Nous apportons tout notre soutien aux populations kurdes et aux autres minorités du Sud-Est de l’Etat turc qui subissent le régime de terreur imposé par l’Etat turc, aux militant-e-s révolutionnaires de Turquie qui se battent contre l’État fasciste de l’AKP et à tou-te-s ceux et
    celles qui soutiennent des projets émancipateurs dans une région du monde en proie à tous les obscurantismes. Nous condamnons les manœuvres de l’État français, de l’Union Européenne et de leurs alliés qui continuent à travailler avec le dictateur Erdoğan et lui fournissent des sommes colossales en échange du contrôle des frontières, qui lui permettent ensuite de mieux déployer ses troupes sous le sol kurde du Rojava et au Kurdistan d’Irak, qui lui permettent d’écraser toute opposition et de laisser circuler armes et chair à canon au profit des fascistes religieux de l’EI.

    Solidarité avec nos camarades anarchistes réprimé-e-s en Turquie !
    Solidarité avec les révolutionnaires de Turquie et du Kurdistan qui se battent pour la liberté !
    Retrait des troupes turques d’Irak et du Rojava !
    Liberté pour tous les prisonnier-e-s politiques en Turquie !

    Par @@_Xavier_@@ International Répression

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    Manifeste : La solidarité, plus que jamais un délit ?

    13 Fév 2017

    La Coordination des Groupes Anarchistes est désormais signataire du manifeste La solidarité, plus que jamais un délit ? (Voir ci-dessous).

    Janvier 2017

    Bien sûr, la solidarité n’a jamais été inscrite dans aucun code comme un délit.

    Cependant, des militants associatifs qui ne font que venir en aide à des personnes en situation de très grande précarité, victimes de décisions dangereuses, violentes, voire inhumaines, se retrouvent aujourd’hui face à la justice.

    Avec l’instauration de l’état d’urgence, et dans le contexte baptisé « crise migratoire », on assiste à une recrudescence de poursuites visant à empêcher l’expression de la solidarité envers migrants, réfugiés, Roms, sans-papiers… Au-delà, c’est le soutien à l’ensemble des personnes étrangères qui tend à devenir suspect, l’expression de la contestation des politiques menées qui est assimilée à de la rébellion et au trouble à l’ordre public.

    La loi permet en effet de poursuivre les personnes qui viennent en aide aux « sans-papiers »[1],  mais toutes sortes d’autres chefs d’accusation servent désormais à entraver toute action citoyenne qui s’oppose aux politiques mises en œuvre. L’ensemble de ces intimidations, poursuites, condamnations parfois, visent donc bien en fait ce qui constitue de nouvelles formes du « délit de solidarité ».

    Dès 2009, les associations de défense des droits de l’Homme et de soutien aux étrangers avaient dénoncé le fait que le délit d’« aide à l’entrée, à la circulation et au séjour des étrangers en situation irrégulière », introduit à l’origine pour lutter contre ceux qui font commerce du trafic et de l’exploitation des étrangers, ait permis au fil du temps de sanctionner les « aidants » d’étrangers sans papiers, même agissant dans un but non lucratif. Si les peines prévues ne sont pas toujours appliquées, une telle réglementation a bien sûr un effet dissuasif sur celles et ceux qui refusent de se soumettre à des politiques hostiles aux étrangers.

    La mobilisation associative, à l’époque, a abouti à plusieurs réformes successives, dont celle du 31 décembre 2012 qui a été présentée comme la « suppression » du délit de solidarité. Il n’en est rien ; la nouvelle rédaction des textes se contente de préciser et augmenter les cas d’exemption de poursuites. Outre l’aide apportée à des parents, est autorisée l’aide qui aura seulement visé à « assurer des conditions de vie dignes et décentes à l’étranger » ou à « préserver la dignité ou l’intégrité physique de celui-ci ». Malgré tout, des personnes ayant manifesté leur solidarité avec des étrangers sans titre de séjour continuent d’être inquiétées – convocations à la police ou à la gendarmerie, gardes à vue, perquisitions, écoutes téléphoniques – voire poursuivies et parfois punies d’amende et emprisonnement.

    Dans le même temps, des poursuites ont commencé d’être menées sur la base de textes sans rapport avec  l’immigration.

    • Les délits d’outrage, d’injure et de diffamation, de rébellion ou violences à agent de la force publique sont utilisés pour défendre l’administration et la police contre celles et ceux qui critiquent leurs pratiques ;
    • Le délit d’« entrave à la circulation d’un aéronef », qui figure dans le code de l’aviation civile, permet de réprimer les passagers qui, voyant des personnes ligotées et bâillonnées dans un avion, protestent contre la violence des expulsions ;
    • La réglementation qui sanctionne l’emploi d’un travailleur étranger sans autorisation de travail a servi à inquiéter des personnes qui, hébergeant des étrangers en situation irrégulière, acceptent que leurs hôtes les aident à effectuer des tâches domestiques.

    Aujourd’hui, les motifs des poursuites se diversifient toujours plus. Tandis que les poursuites pour aide à l’entrée et au séjour ont repris de plus belle, de nouveaux chefs d’accusation sont utilisés pour condamner les actions solidaires :

    • La réglementation en matière d’urbanisme a été invoquée à Norrent-Fontes (Pas-de-Calais) pour demander la destruction d’abris pour migrants ;
    • Des textes sur l’hygiène ou la sécurité applicables à des locaux ont servi à empêcher des hébergements solidaires à St-Etienne ;
    • L’absence de ceinture de sécurité et d’un siège pour une fillette à bord d’un camion a permis la condamnation d’un aidant à Calais ;
    • L’intrusion dans des zones particulières, interdites pour cause d’état d’urgence, a été utilisée, à Calais également, pour sanctionner le regard citoyen ;
    • Le délit de faux et usage de faux est utilisé pour intimider des personnes qui ont voulu attester de la présence depuis plus de 48h de personnes dans un squat à Clichy ;
    • etc.

    Et, de plus en plus, le simple fait d’avoir voulu être témoin d’opérations de police, d’expulsions de bidonvilles, de rafles, peut conduire à une arrestation, sous couvert de rébellion ou de violences à agent.

    Ces procédés d’intimidation doivent cesser. Nous affirmons la légitimité du droit de regard des citoyens et des citoyennes sur les pratiques de l’administration, de la justice ou de la police. Nous voulons que soient encouragé·e·s celles et ceux qui se montrent solidaires des personnes en situation de précarité sans se soucier de savoir si elles sont ou non en situation régulière quant au séjour. Nous refusons que les populations visées par des politiques ou des pratiques xénophobes soient privées de soutien.  C’est l’avenir du principe même de solidarité qui est en jeu.

    Premiers signataires :

    Associations nationales

    Acort (Assemblée citoyenne des originaires de Turquie)

    ADDE (Avocats pour la défense des droits des étrangers)

    ADMIE (Association pour la Défense des Mineurs Isolés Etrangers)

    AFVS (Association des familles victimes du saturnisme)

    Amoureux au ban public (Les)

    Attac France

    Catred (Collectif des accidentés du travail, handicapés et retraités pour l’égalité des droits)

    Cedetim/Ipam (Centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale)

    Ceras (Centre de recherche et d’action sociales)

    Cnafal (Conseil national des associations familiales laïques)

    Collectif National Droits de l’Homme Romeurope

    Collectif Ni Guerres Ni État de Guerre

    Comede (Comité pour la santé des exilés)

    Comegas (Collectif des médecins généralistes pour l’accès aux soins)

    Copaf (Collectif pour l’avenir des foyers)

    Culture et Liberté

    Emmaüs France

    Fasti (Fédération des associations de solidarité avec tou-te-s les immigré-e-s)

    Fédération Entraide Protestante

    Fnars (Fédération des acteurs de la solidarité)

    Fondation Abbé Pierre

    FTCR (Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives)

    Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·e·s)

    Jesuit Refugee Service (JRS) France

    La Cimade

    LDH (Ligue des droits de l’Homme)

    Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples)

    RESF (Réseau Éducation Sans Frontières)

    Revivre (association de soutien aux demandeurs d’asile, réfugiés syriens et prisonniers politiques en Syrie)

    Secours Catholique

    UJFP (Union juive française pour la paix)

    Utopia 56

    Associations locales

    • Auvergne-Rhône-Alpes

    RESF 03 (Allier)

    RESF 43 (Haute-Loire)

    RESF 63 (Puy-de-Dôme)

    • Bourgogne-Franche-Comté

    Collectif Creusot-Autun des Droits de l’Homme

    Les Amis du CADA (Digoin, Saône-et-Loire)

    • Centre-Val-de-Loire

    La Cimade – groupe local de Blois

    • Hauts-de-France

    ACC Minorités visibles (Dunkerque)

    Adra Dunkerque

    Arras Solidarité réfugiés

    Attac Artois

    Auberge des Migrants (L’)

    Care4Calais

    Collectif de soutien à Jean Luc Munro

    Équipe de soutien juridique de Dunkerque

    Flandres Terre solidaire

    Fraternité Migrants Bassin Minier 62

    La Cabane juridique  / Legal Shelter

    La Fraternité (Bruay-la-Buissière)

    Le Réveil Voyageur

    Mrap Dunkerque

    Planning familial Pas-de-Calais

    Salam Nord/Pas-de-Calais

    Terre d’errance

    Terre d’errance Flandres littoral

    • Île-de-France

    ASEFRR (Association Solidarité Essonne Familles Roumaines et Rroms)

    Aset 93 (Association d’aide à la scolarisation des enfants Tsiganes)

    Assemblée citoyenne du 14ème

    Collectif de Vigilance Paris12 pour les droits des étrangers-RESF

    Collectif Romeurope du Val Maubuée

    Collectif de soutien 5è-13è aux migrants d’Austerlitz

    Ecodrom 93

    Hors la Rue

    Inter-Collectif Parisien de Soutien aux Migrant-es

    La Chapelle debout

    Observatoire Citoyen du CRA de Palaiseau

    Paris d’exil

    RESF 93

    Romeurope 94

    Solidarité migrants Wilson

    Turbulences Marne-La-Vallée

    • Normandie

    Itinérance Dieppe

    Itinérance Cherbourg

    • Occitanie

    Cercle des Voisins du CRA de Cornebarrieu (Haute-Garonne)

    Planning familial 48 (Lozère)

    • PACA

    Association pour la démocratie à Nice

    Beaux repères (Avignon)

    Collectif Agir à Aix-en-Provence pour l’accueil des migrants en pays d’Aix

    Comité de Vigilance des Alpes Maritimes (COVIAM)

    Habitat et citoyenneté (Nice)

    MRAP Vaucluse

    Roya citoyenne (La)

    Tous migrants (Marseille)

     

    Organisations syndicales

    Émancipation tendance intersyndicale

    Fédération Solidaires Étudiant-e-s

    FERC CGT (Fédération de l’Éducation, de la Recherche et de la Culture)

    SAF (Syndicat des avocats de France)

    SGLCE-CGT (Syndicat Général du Livre et de la Communication Écrite CGT)

    SNUipp-FSU (Syndicat national unitaire des instituteurs et professeurs des écoles et PEGC)

    SNPES-PJJ-FSU (Syndicat National des Personnels de L’Éducation et du Social)

    Solidaires Étudiant-e-s

    SUD Collectivités territoriales

    SUD Éducation

    SUD Industrie Francilien

    SUD Logement social

    SUD Santé Sociaux

    Syndicat de la Magistrature

    Union départementale Solidaires Pas-de-Calais

    Union syndicale Solidaires

     

    Avec le soutien des organisations politiques :

    Alternative Libertaire

    CGA (Coordination des Groupes Anarchistes)

    EELV (Europe Écologie Les Verts)

    OCL (Organisation communiste libertaire)


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    Solidarité avec Théo et toutes les victimes des violences policières ! Non à la loi « Sécurité Publique » !

    12 Fév 2017

    La Coordination des Groupes Anarchistes affirme sa solidarité avec Théo, qui a subi un viol, des coups et des brimades de la part de quatre policiers le 2 février dernier. Nous nous solidarisons également des personnes qui ont manifesté et manifestent face à la police leurs légitimes colères à Aulnay et dans diverses communes de Seine-Saint-Denis. Nous dénonçons l’emploi de la violence par la police à l’encontre de ces manifestant‑e‑s, dont des tirs de sommation à balles réelles dans la nuit du 6 au 7 février, ainsi que toutes les interpellations et condamnations en justice. Ce samedi 11 février, des mobilisations contre les violences policières et en solidarité avec Théo ont été organisées partout en France. Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées devant le TGI de Bobigny, où là encore la répression a été très sévère.

    Les violences subies par Théo ne peuvent pas être présentées comme un cas isolé : outre les coups et les blessures, des recensements font état d’une moyenne de 10 à 15 morts liées à la police par an (il n’existe pas de statistiques officielles à ce sujet). Souvenons-nous des cas les plus médiatiques de Zyed et Bouna, de Wissam El Yamni, de Rémi Fraisse et d’Adama Traoré. L’impunité qui suit ces affaires renforce le sentiment de toute puissance de la police qui va toujours plus loin.

    La police relaie bien volontiers un racisme d’État qui s’institutionnalise et se banalise toujours plus à travers des lois, des pratiques et des discours. Le racisme des flics s’étale sans vergogne dans les quartiers populaires où contrôles au faciès et vexations plus ou moins violentes sont monnaie courante.

    L’état d’urgence désormais à durée indéterminée donne toujours plus de prérogatives à la police en la dispensant fortement de déjà modestes contrôles juridiques. L’État a demandé à sa police de relever le niveau de répression et de violence à l’encontre du mouvement social contre la loi travail. Ces dispositions ont contribué à lâcher encore la bride des flics.

    Ce sentiment que tout leur est permis s’est cristallisé à travers le « mouvement » des flics de cet automne réclamant des moyens supplémentaires, une « plus grande liberté d’agir face aux délinquants » et l’extension de la notion de leur légitime défense. Le tout avec l’attention et la bienveillance de la quasi-totalité de la classe politique et du gouvernement, qui a débloqué une enveloppe de 250 millions et légifère actuellement suite à ces revendications sur l’assouplissement de la légitime défense de la police.

    Comble du cynisme, alors que Théo est encore à l’hôpital, l’Assemblée nationale vient précisément d’approuver ce mercredi 8 février, la loi de « sécurité publique », qui assouplit les règles de légitime défense pour les policiers, durcit les peines pour outrage aux forces de l’ordre et autorise l’anonymat des enquêteurs. Elle précise entre autres que les policiers pourront utiliser leurs armes « face à la menace de personnes armées » (de quels types d’armes ?) ou « lorsqu’ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu’ils occupent ». Autant de notions floues qui préparent de nouveaux drames…

    Exigeons la fin de l’impunité policière, le retrait de la loi « sécurité publique », la levée de l’état d’urgence et l’abrogation des lois sécuritaires.

    Ne laissons pas rogner nos droits et nos conquêtes sociales !

    Le 12 février 2017,

    les Relations Extérieures de la CGA

    Ce communiqué de la CGA en PDF ci-dessous :

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2017/02/170212_communiqué-CGA_-contre-toutes-les-violences-policières_solidarité-avec-Théo.pdf »]


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    Justice et Solidarité pour Théo ! Rassemblement ce samedi 11 Février à 14h, place de la Comédie

    10 Fév 2017

    Communiqué de l’Assemblée Générale de Montpellier contre l’état d’urgence et les violences d’État.

    Face à l’horreur des violences et du viol perpétrés par quatre policiers le 2 Février sur un jeune homme à Aulnay s/bois, lAssemblée Générale de Montpellier contre l’état d’urgence et les violences d’État tient à témoigner sa solidarité et son soutien au jeune Théo, ainsi qu’à sa famille, ses proches et à la population de son quartier mobilisée. La solidarité avec ce jeune d’ Aulnay s/bois sera présente dans nos interventions durant toute la campagne que nous menons jusqu’à fin mars contre l’état d’urgence et les violences d’État. L’agression de cet habitant d’Aulnay vient s’ajouter à une liste qui ne cesse de s ‘allonger ; les quartiers populaires, les migrant-e-s et le mouvement social sont toujours les cibles et les victimes de la répression et des violences policières.

    Unissons-nous, organisons-nous pour dire STOP aux matraquages, aux gazages, aux tirs de flash ball, aux mutilations et parfois à la mort. STOP aux violences policières, STOP aux violences d’État !

    Justice et Solidarité pour Théo !

    Appel à rassemblement samedi 11 Février à 14h place de la Comédie


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    1ère soirée de la campagne contre l’état d’urgence et les violences d’État ce vendredi 10 février, 19h à Luttopia 003

    08 Fév 2017

    L’AG contre l’état d’urgence et les violences d’État organise une campagne de solidarité et de mobilisation, avec des soirées de débats, projection, concert, mais aussi des rassemblements de soutien et une manifestation !

    Le premier débat de cette campagne « Guerres et anti-terrorisme » aura lieu ce vendredi 10 février à Luttopia 003 (Anciennes Archives Départementales, avenue de la justice de Castelnau / rue proudhon, quartier des Beaux-Arts) à 19h.

    Au nom de l’antiterrorisme, l’État mène la guerre à l’extérieur, multipliant les opérations militaires, et à l’intérieur, par la répression et le renforcement de son arsenal sécuritaire !

    Mesures d’exceptions et lois sécuritaires se multiplient, restreignant toujours davantage nos libertés individuelles et collectives (liberté d’expression, d’association, de circulation, etc.), élargissant les possibilités de surveillance et de fichage, et durcissant les peines.

    L’état d’urgence vient d’être prolongé pour la cinquième fois, conférant au ministère de l’Intérieur, à ses préfets et sa police un large éventail de pouvoirs, dont la perquisition des logements de jour comme de nuit et l’assignation à résidence sans que l’autorisation d’un juge soit nécessaire.

    Au quotidien, l’État réprime, discrimine, blesse, enferme, et parfois tue.

    Dans le même temps, toutes les luttes sociales pour résister au rouleau compresseur capitaliste, mouvements salariaux, luttes pour le logement, mobilisations de solidarités avec les migrant-e-s, sont sévèrement réprimées et criminalisées.

    A Montpellier, plusieurs procès arrivent bientôt ; celui de Jules, militant sur lequel la police s’acharne, celui de Fred, interpellé dans le cadre d’une manifestation contre la loi travail, celui du Royal occupé, à la fois lieu d’habitation et espace politique et culturel.


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    Campagne contre les violences d’État et la répression Solidarité, mobilisons-nous !

    02 Fév 2017

    Au nom de l’antiterrorisme, l’État mène la guerre à l’extérieur, multipliant les opérations militaires, et à l’intérieur, par la répression et le renforcement de son arsenal sécuritaire !

    Mesures d’exceptions et lois sécuritaires se multiplient, restreignant toujours davantage nos libertés individuelles et collectives (liberté d’expression, d’association, de circulation, etc.), élargissant les possibilités de surveillance et de fichage, et durcissant les peines.

    L’état d’urgence vient d’être prolongé pour la cinquième fois, conférant au ministère de l’Intérieur, à ses préfets et sa police un large éventail de pouvoirs, dont la perquisition des logements de jour comme de nuit et l’assignation à résidence sans que l’autorisation d’un juge soit nécessaire.

    Au quotidien, l’État réprime, discrimine, blesse, enferme, et parfois tue.

    Dans le même temps, toutes les luttes sociales pour résister au rouleau compresseur capitaliste, mouvements salariaux, luttes pour le logement, mobilisations de solidarités avec les migrant-e-s, sont sévèrement réprimées et criminalisées.

    A Montpellier, plusieurs procès arrivent bientôt ; celui de Jules, militant sur lequel la police s’acharne, celui de Fred, interpellé dans le cadre d’une manifestation contre la loi travail, celui du Royal occupé, à la fois lieu d’habitation et espace politique et culturel.

    L’AG contre l’état d’urgence et les violences d’État a donc organisé une campagne de solidarité et de mobilisation, avec des soirées de débats, projection, concert, mais aussi des rassemblements de soutien et une manifestation !

    En voici l’agenda avec un changement non notifié ci-dessous. Le débat du 10 février se tiendra à Lutopia 003 (Anciennes Archives Départementales, avenue de la justice de Castelnau / rue proudhon, quartier des Beaux-Arts) :

    Par Groupe Un Autre Futur Répression Sécuritaire
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