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Luttes Sociales – Page 28 – Union Communiste Libertaire Montpellier
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Luttes Sociales


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    Mardi 11 octobre 19h : Apéro de rentrée de La Collective et débat

    09 Oct 2016

    APERO FEMINISTE : Femmes dans les luttes sociales, femmes syndicalistes

    affiche-debat-11-octL’apéro féministe de rentrée de La Collective 34 se tiendra le mardi 11 octobre 2016 à 19h à la librairie la mauvaise Réputation au 20 rue Terral (Quartier St Anne)

    Débat co-organisé par La Collective 34 et la Commission féministe de l’AG populaire nuit debout :

    Femmes dans les luttes sociales – Femmes syndicalistes

    La présence et la participation active des femmes dans les luttes sociales, au sein des collectifs de lutte et des syndicats, ne semblent plus faire l’objet d’un débat. Le discours anti-patriarcal, ou a minima la revendication de l’égalité entre femmes et hommes, ont été intégrés dans les discours des collectifs et des organisations syndicales. Mais qu’en est-il de la place et de l’expérience des femmes dans les luttes sociales ? Comment le discours anti-patriarcal se traduit-il dans le fonctionnement des collectifs et des syndicats ? Quels outils peuvent permettre la mise en place de fonctionnements véritablement égalitaires ?

    Venez nombreux-ses débattre avec nous de ces questions !

    Par Groupe Un Autre Futur Anti-patriarcat Anticapitalisme Luttes Sociales

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    Contribution du groupe Un Autre Futur sur le mouvement social contre la loi El Khomri

    21 Sep 2016

    Le texte suivant, en grande partie rédigé cet été 2016, est un point d’étape du mouvement social qui met en particulier l’accent sur ses singularités et sur les nouvelles formes de mobilisation qui ont émergé. Loin d’être une analyse exhaustive de la mobilisation, il rapporte ainsi les éléments qui nous semblaient les plus importants à considérer, concernant notamment les nouveaux espaces d’organisation, les actions menées, les revendications, et les liens qui se sont établis entre les différent-e-s acteurs-actrices de la lutte.

    De nouveaux espaces de mobilisation

    Le mouvement contre la loi travail connaît des formes singulières par rapport aux mouvements des retraites ou contre le CPE il y a dix ans. La pétition numérique contre la loi travail, les vidéos (« On vaut mieux que ça ») et les réseaux sociaux ont donné une résonance à l’appel syndical qui a fait le succès de la première manifestation du 9 mars, en remettant sur le chemin des manifs de nombreux-ses salarié-e-s qui avaient déserté les mobilisations syndicales des dernières années, par exemple contre l’ANI ou le pacte de responsabilité.

    Dès les premières dates de mobilisations, des réunions en dehors des structures syndicales ont vu le jour sous des formes diverses (AG interpro, AG populaires, etc.) dans le but de mobiliser et amplifier la contestation. Sans être nouvelles, elles ont rencontré un écho non négligeable dans plusieurs villes.

    Fort du succès de la manifestation du 31 mars, l’initiative militante d’occuper la place de la République à Paris connaît un succès immédiat. L’occupation débute, se prolonge les jours qui suivent, essaime en province, et finit par se développer dans toutes les grandes villes et villes de taille moyenne.

    Cette occupation des places rappelle le mouvement du 15 mai en Espagne ou les Indignés français, mais la connexion à une lutte immédiate, celle contre la loi El Khomri, lui donnent des caractéristiques particulières. Moins massif que le mouvement espagnol, puisque celui des Nuits Debout n’a pas dépassé quelques dizaines de milliers de participant-e-s plus ou moins impliqué-e-s, il a quand même pris une dimension significative, contrairement à la tentative des Indignés en France en 2011.

    Dès le début, les Nuits Debout regroupent une grande diversité d’individu-e-s, en terme de classe d’âges, de sociologie, de professions, de pratiques militantes.

    L’évolution du monde salarial, les réformes successives libérales et antisociales, la précarisation des contrats, le chômage, ont réduit pour beaucoup les possibilités de s’inscrire dans des espaces collectifs de lutte ancrés sur des lieux de travail.

    Cette même réalité sociale et l’état du monde du travail actuel rendent, pour une partie toujours plus importante des travailleurs-euses, difficile, voire impossible de se mettre en grève. C’est par exemple le cas des salarié-e-s des petites entreprises, des CDD, des stagiaires, des temps partiels imposés trop peu rémunérés, de tous ceux et toutes celles qui redoutent un licenciement, des personnes en formation, des travailleurs-euses soumis-es à des résultats, performances, etc.

    Ainsi, parmi ceux/celles qui rejoignent les AG populaires et les Nuits Debout, beaucoup se sentent déconnecté-e-s des formes de lutte traditionnelles du monde du travail et de l’action syndicale.

    Au delà de l’opposition à la loi travail et au libéralisme, et au même titre que le mouvement du 15 mai espagnol ou des mouvements Occupy, le mouvement Nuit Debout se nourrit également du sentiment de n’être pas représenté par l’action des gouvernements et des partis politiques. Ce sentiment partagé rassemble à ses débuts des réalités très diverses, allant de la volonté de créer une démocratie politique réelle en occultant les questions économiques et sociales et les connexions à faire avec elles, jusqu’au refus d’être représenté-e-s par des politiciens dans une perspective de rupture avec le capitalisme et l’État.

    L’aspiration à l’horizontalité et le refus de mettre en avant des représentant-e-s font consensus dans les Nuits Debout. Ainsi, la volonté de mettre en place des fonctionnements qui permettent l’expression de toutes et tous et qui garantissent des prises de décision collectives font partie des points essentiels et particulièrement intéressants du mouvement. La structuration en commissions permet aux participant-es de s’impliquer réellement dans le mouvement. Des actions sont décidées, organisées, et réalisées, démontrant une efficacité de fonctionnement, et la possibilité d’agir concrètement au sein de la lutte. Avec une certaine diversité d’une ville à l’autre, les AG deviennent des espaces de décisions primordiaux pour une maîtrise par toutes et tous du mouvement.

    En effet, chacun-e peut prendre part aux discussions et décisions collectives concernant les stratégies de mobilisation à poursuivre, les actions, le fonctionnement même des AG. L’implication dans les commissions qui se structurent permet de devenir acteurs/actrices de la lutte, ce qui conduit en outre à une forme d’émancipation, jusqu’alors jamais expérimentée pour certain-e-s. Cela passe notamment par la prise de parole en public, ou encore par la mise en œuvre d’actions étape par étape : discussions, décision, organisation, et réalisation.

    Il ne s’agit pas ici de nier les difficultés propres à l’apprentissage collectif de la démocratie directe : appropriation plus ou moins longue des fonctionnements (culture du mandatement, importance du partage de l’information pour pouvoir prendre des décisions en conscience, prise d’initiative, rotation des tâches, etc.), mise en avant de ceux et celles qui se risquent à sa mise en place, acceptation de se tromper, capacité à dépasser ses erreurs pour en tirer des bilans, enjeu de transmettre des pratiques et des décisions collectives afin d’éviter sans cesse les mêmes discussions, etc.

    Les Nuits Debout sont donc d’autant plus importantes pour celles/ceux qui n’ont pas d’autres espaces collectifs de lutte que l’on connaît plus traditionnellement : AG sur les lieux de travail, dans les universités, au sein des syndicats, collectifs et organisations politiques pratiquant la démocratie directe.

    Un autre aspect de la mobilisation concerne la prise en main des réseaux sociaux et des médias par les acteurs-actrices du mouvement social. Brièvement, l’utilisation d’internet, des outils de mise en réseaux et de diffusion d’informations comptent de nombreux avantages (toucher un très grand nombre de personnes, appeler à des rendez-vous, se réapproprier les informations diffusées, faire circuler des communiqués, analyses, vidéos, etc.), ainsi que des inconvénients (désinvestissement du « terrain », perte de temps et d’énergie, « embrouilles », etc.).

    D’une ville à l’autre, les Nuits Debout ont pris différentes orientations, en fonction des personnes qui s’y sont investies. Lorsque ces dernières ont favorisé l’auto-organisation du mouvement et l’expérimentation de formes de démocratie directe, ces aspects, proches des aspirations anarchistes, ont été renforcés. A l’inverse, les tendances citoyennistes qui ont prôné pour que les Nuits Debout s’organisent en Constituante comme solution de débouché au mouvement et outil de transformation de la société, y ont eu alors moins d’échos. On observe également de la diversité au niveau de la structuration : ND seul, ND/AG lutte fusionnées, les deux structures en parallèle. En fonction de ces différents facteurs, ainsi que de la diversité des contextes de mobilisation au niveau local, l’implication dans la lutte des Nuits Debout a été plus où moins forte.

    Cette implication et le travail de convergence des luttes caractérisent le mouvement Nuit Debout. Il aura en effet permis la rencontre d’acteurs très divers, en terme de pratiques politiques habituelles (militant-e-s d’extrême-gauche, anarchistes organisés ou non, libertaires, « autonomes », syndiqué-e-s, ainsi que des personnes qui n’avaient jusqu’alors aucune pratique militante), de sociologie (ouvriers, précaires, chômeurs, professions « intellectuelles », intermittent-e-s, étudiant-e-s, migrant-e-s, etc), de secteurs professionnels (transport, industries, informatique, santé/social, éducation, spectacle, recherche, etc.).

    Cette convergence ne va pas de soi, et a rencontré parfois des difficultés, nourries par des réticences qui sont venues aussi bien des syndicats (refus d’intégrer les ND à l’organisation de la lutte) que de participant-e-s au mouvement (accusation de compromission, d’appel clair à la grève générale, de soutien à tous les modes d’action, etc.).

    Globalement, les Nuits Debout ont été des espaces de lutte constructifs : impulsion d’actions, dynamique réelle de construction de convergence, espace de formation, de débats, etc.

    Parmi les actions de convergence, on peut notamment citer la réussite des barrages et des blocages (terminaux pétroliers, raffineries, voies et chantiers SNCF), des actions de péages gratuits, les blocages des transports, ou plus symboliquement les divers « accueils » des ministres ou membres du Medef lors de leurs déplacements.

    Le renforcement par des participant-e-s aux Nuits Debout de piquets de grèves ou de lieux d’occupation a souvent permis aux grévistes de tenir sur une plus longue durée, grâce au soutien populaire affiché et au maintien d’un rapport de force suffisant.

    La diffusion des enjeux de la loi El Khomri, le travail d’information des dates de mobilisation, la rédaction et la diffusion de communiqués, les affichages, tractages, points d’information, sont également des aspects importants de la lutte qui ont été pris en charge entre autres par les participant-e-s des Nuits Debout.

    L’organisation de cortèges de convergence, de manifestations décalées ou spontanées a donné force et vitalité au mouvement, comme démonstration d’une opposition populaire à la loi travail.

    Face à la répression policière et juridique, les commissions anti-répression ont joué un rôle dans la dénonciation des interdictions à manifester, des violences policières, etc., et dans l’organisation de la solidarité.

    Le blocage des terminaux pétroliers illustre les aspects les plus positifs du mouvement Nuit Debout dans sa volonté de convergence des luttes. Au départ appelés par des syndicalistes des sites pétroliers, ces blocages sont rendus possibles ou favorisés par la participation de militant-e-s de Nuit Debout. Prenant le pas, les travailleurs des sites décident en AG de se mettre en grève, permettant aux blocages de perdurer. Ainsi, les grèves des terminaux pétroliers ont duré plusieurs semaines (fin mai à mi juin).

    L’initiative « on bloque tout », soutenue par les syndicats, a conduit dans certaines villes à un développement de collectifs de militant-e-s syndiqué-e-s, interprofessionnels. Même si elle n’a pas atteint ses objectifs, elle a permis de mettre en avant les questions économiques et sociales, l’importance du blocage économique comme moyen de pression, et la nécessité de la reconduction et de la généralisation de la grève générale. Des connexions ont eu lieu avec les Nuits Debout, qui ont souvent relayé l’appel.

    La mise en avant de revendications en rupture avec le capitalisme au sein des Nuits Debout, le rejet global des politiques menées par le gouvernement, ainsi que des institutions politiques, ont donné le ton au mouvement de contestation, et appuyé les syndicats en lutte dans leurs décisions de ne pas négocier et d’afficher une certaine radicalité dans leur prises de position. Cela n’a pas empêché les difficultés actuelles à mobiliser, et on ne peut que constater que la grève n’a été reconduite que dans des secteurs très limités et ne s’est pas massifiée. Néanmoins, cela a permis l’émergence de discours combatifs, en terme de revendications et de moyens d’action, rendant effective la notion de solidarité de classe.

    Le mouvement social dans son ensemble a certes connu une baisse en intensité à partir de la fin mai, puis au mois de juin, mais a affiché une détermination qui peut laisser entrevoir des suites. Ainsi, dans de nombreuses villes, les AG et Nuits Debout ont fait leur rentrée, sans retrouver le niveau connu au printemps, mais sans disparaître pour autant.

    La manifestation du 15 septembre, complètement invisibilisée dans les grands médias les jours précédents, et annoncée partout comme la dernière contre la loi El Khomri, n’a pas été aussi faible que les discours politiques et médiatiques l’avaient prédit. Cependant, la mobilisation n’a pas franchi de seuil, et l’intersyndicale n’appelle pour le moment pas à une prochaine date de grève et manifestation.

    Pour conclure, les AG populaires et Nuits Debout ont constitué des espaces non marginaux permettant à de nombreuses personnes isolées de trouver un espace réel d’implication et de politisation : comme dans toutes les luttes, de nombreuses personnes réellement investies dans ces espaces ont modifié leurs perceptions politiques. Quand un discours anticapitaliste et anti-étatiste a su se rendre audible (parce que connecté aux luttes et à ces espaces), beaucoup de ces personnes se sont éloignées de leurs visions réformistes de la transformation sociale, pour se rapprocher des pratiques et idées libertaires.

    Une convergence réelle s’est opérée avec les actions syndicales, et d’importants réseaux se sont tissés entre différents acteurs-actrices du mouvement social. Le mouvement des Nuits Debout a permis de faire vivre une mobilisation offensive en dehors des dates interpro, et peut ainsi être considéré comme le deuxième moteur qui a occupé l’espace entre les dates de mobilisations appelées par les centrales syndicales.

    S’ouvrent maintenant de nombreuses possibilités quant au devenir et aux formes que prendra le mouvement des AG populaires et Nuits debout, qui, peut-on penser, laissera de toute façon des traces dans le futur.

    Le groupe Un Autre Futur de la CGA,

    Juillet 2016 (mis à jour le 16 septembre)

    Par Groupe Un Autre Futur Autogestion Luttes Sociales

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    Jeudi 15 septembre : Manifestation contre la loi travail !

    12 Sep 2016

    Article repris du site de l’AG Populaire/Nuit Debout Montpellier : http://nuitdeboutmontpellier.org

    RENDEZ-VOUS du Jeudi 15 septembre :

    • 11h30 : départ de la manifestation intersyndicale, place de la Comédie.
    • Poursuite de la manifestation jusqu’au Tribunal de Grande Instance (place Pierre Flotte) pour soutenir Cassandre, victime de la répression du mouvement social.

    N’hésitez pas à prendre des ballons de baudruche et à y inscrire vos messages de soutien : « relaxe pour Cassandre”, “Non à la répression”, “Non à la criminalisation du mouvement social”, ” ceci est une arme”, etc.

    • AG de luttes devant le TGI (place Pierre Flotte), pour échanger et organiser la suite du mouvement social.

    TRACT DE L’AG / Nuit Debout :

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/09/20160915_Tract-15-septembre-2016.pdf »]

    Par Groupe Un Autre Futur Luttes Sociales

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    Le 15 septembre et après : on n’a pas d’autres choix que de lutter !

    12 Sep 2016

    Sans surprise, le gouvernement a fait adopter, via un troisième 49.3, la « loi travail » au cœur de l’été.

    Quelques initiatives pour lutter contre cette loi ont perduré durant l’été à travers l’hexagone. Mais le 15 septembre est la première date nationale de mobilisation appelée par l’intersyndicale. Chant du cygne de la lutte ou reprise d’une mobilisation inédite de plusieurs mois, l’enjeu est de taille.

    Aussi nous devons nous emparer de cette date pour en faire une réussite, en étant dans la grève et en manifestant.

    Car au-delà de la loi travail, la période électorale qui s’ouvre s’annonce nauséabonde et nécessite plus que jamais de déserter les urnes et d’investir le terrain social : les horribles attentats de l’été ont libéré toujours plus les discours racistes et en particulier islamophobes. Ils ont permis à l’État de justifier la prolongation d’un état d’urgence qui devient permanent.

    Nul doute que les primaires de droite et de gauche puis la campagne présidentielle en elle-même vont aggraver cette tendance lourde.

    D’autre part, les candidats à une énième alternative à gauche ne vont pas manquer de tenter de semer trouble et division parmi les actrices et acteurs du mouvement social que nous connaissons. Et ce, malgré les échecs patents de Syriza en Grèce et de Podemos en Espagne, qui ont montré l’impossibilité de s’attaquer aux ravages du capitalisme par la prise de pouvoir, tout en asséchant les mouvements sociaux sur lesquels ils ont surfé.

    Ainsi, nous affirmons qu’il est indispensable de rester sur le terrain de la contestation sociale, ce 15 septembre et ensuite.

    Parce que la « loi travail » organise une régression sociale d’ampleur, en s’attaquant au code du travail et à de nombreux acquis sociaux, et en précarisant toujours davantage les travailleurs-euses. Elle remet notamment en cause le principe de hiérarchie des normes et le principe de faveur1, soumettant les salarié-e-s à tous les chantages patronaux.

    Parce que la lutte des classes et la solidarité de classe sont les meilleurs antidotes aux discours réactionnaires, liberticides et racistes qui divisent les exploité-e-s.

    Parce que nous ne devons pas légitimer à travers les élections, un système représentatif que nous subissons et qui ne nous offre que l’austérité comme perspective.

    Nous affirmons au contraire la nécessité de rompre avec l’État, le capitalisme, le patriarcat et les systèmes d’oppressions racistes, à travers un processus révolutionnaire.

    Diffusons aujourd’hui au sein des luttes les pratiques autogestionnaires, de démocratie directe et de fédéralisme, pour demain faire fonctionner la société sur une base égalitaire et libertaire.

    Le 8 septembre 2016,

    les Relations Extérieures de la CGA

    1Un accord trouvé au sein d’une entreprise pourra être moins favorable aux salarié-e-s et l’emporter sur une disposition du code du travail, par exemple.

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/09/Communiqué-CGA-Le-15-septembre-et-après-on-na-pas-dautres-choix-que-de-lutter.pdf »]

    Par Groupe Un Autre Futur Luttes Sociales

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    Samedi 27 août : Assemblée Générale Populaire contre la loi travail et son monde

    22 Août 2016

    Ce samedi 27 août aura lieu la première AG populaire contre la loi travail et son monde.
    Rendez-vous à 18h place de la Comédie.

    Soyons nombreuses et nombreux pour organiser la suite du mouvement, discuter des perspectives de lutte et des mobilisations sociales à venir !

    Retrouvez les infos sur le site de Nuit Debout : http://nuitdeboutmontpellier.org/

     

     

    Par @@_Xavier_@@ Luttes Sociales

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    Mercredi 24 août : Rentrée sociale de l’AG populaire contre la loi travail et son monde

    22 Août 2016

    Ce mercredi 24 août est prévue la réunion inter-commissions de l’AG populaire contre la loi travail et son monde.
    Rendez-vous à 19h30 au Kiosque de l’Esplanade.

    Soyons nombreux et nombreuses pour cette rentrée sociale !

    Retrouvez les infos sur le site de Nuit Debout de Montpellier : http://nuitdeboutmontpellier.org/

     

    Par @@_Xavier_@@ Luttes Sociales

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    Nous avons gâché la fête de Valls et Saurel !

    02 Juil 2016

    Montpellier le 2 juillet 2016

    Le communiqué de l’assemblée populaire / Nuit Debout

    Ce qui vient de se passer ce 1er juillet à Montpellier confirme la dérive autoritaire du régime, la tendance à la militarisation généralisée de la police et la répression violente du mouvement social : 49.3, interdictions de manifester ciblées, tentatives d’interdiction des manifestations intersyndicales, dispositifs policiers d’encerclement violents, usage massif et dangereux des grenades de dés-encerclement et lacrymogènes, etc.

    Alors que Manuel Valls devait inaugurer la nouvelle ligne de tram au cours d’une fête « populaire et participative », une partie des opposantEs à la loi travail qui arrivaient au compte-goutte se sont vuEs interdire l’accès à l’espace public de la fête. La police a invoqué un arrêté préfectoral dans le cadre de l’état d’urgence pour cibler celles et ceux fichéEs comme opposantEs à la loi travail.

    Un dispositif digne d’un régime autoritaire était déployé pour une simple inauguration : CRS armés de fusils d’assaut, brigade d’intervention, brigade mobile de gendarmerie, plusieurs compagnies de CRS, entreprise de sécurité privée ainsi que des dizaines de policiers en civils.

    Toute personne suspectée sur faciès de s’opposer à la politique du gouvernement s’est vue refoulée par les polices municipales et nationales, jouant le rôle de videurs d’une boite de nuit à ciel ouvert. Une partie des mobiliséEs de Nuit Debout qui avaient réussi à passer se sont fait contrôler puis expulser par la brigade anti criminalité au cœur même de la fête, au total plus d’une cinquantaine de personnes.

    Cela marque un nouveau pas dans le fichage généralisé et dans les interpellations « préventives ». Ainsi les opposantEs à la loi travail sont présuméEs coupables a priori dont on ne sait quel crime. Peut-être celui de vouloir s’exprimer et s’opposer ?

    L’évacuation de certainEs militantEs n’aura pas permis de faire taire la contestation populaire.

    Une grosse centaine de personnes (Nuit Debout Montpellier, Nîmes, Pic St Loup, Brissac, Solidaires, CGT, CNT….) ont littéralement couvert le discours de Valls avec huées, sifflets,  slogans le rendant parfaitement inaudible sur la totalité des 6 minutes. Pancartes et cartons rouges savamment dissimulés ont étés levés.

    Le premier ministre appelé à la démission par le peuple n’est même plus capable d’inaugurer un tramway en province sans se voir politiquement bousculé.

    Nombreux-sEs étaient ceux et celles qui, n’étant pas forcément venu-es au Peyrou pour contester, ont rejoint l’action tandis que quelques autres exprimaient leur mécontentement. Beaucoup de personnes, sont en colère contre Manuel Valls (en tant que représentant de l’État répressif et allié du patronat), qui s’est fait copieusement huer tout au long de son discours. Les petits fours payés avec nos impôts ont certainement eu un petit goût amer pour ces messieurs-dames !

    Un beau cortège a quitté les festivités pour rejoindre les refouléEs et former une manifestation spontanée et revendicative.

    Preuve a été faite que cette répression démesurée ne pourra venir à bout de la contestation populaire légitime contre la loi travail et son monde. Elle ne fera que nous rendre plus déterminéEs.

    On ne lâche rien !

    Et pour terminer, un petit film !

    Par Groupe Un Autre Futur Luttes Sociales

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    1er juillet – Action AG populaire – Nuit Debout : La grande valse du pognon !

    30 Juin 2016

     

    Rendez-vous n°1 à 17h00 à l’arrêt Plan Cabanes (face à l’auto-école). Vous serez redirigé par un-e cop-a-in-e de Nuit Debout vers le lieu de rendez-vous.

    Rendez-vous n°2 à 19h30 à la caisse du parking des Arceaux. Vous serez redirigé par un-e cop-a-in-e de Nuit Debout vers la suite des événements.

    Par Groupe Un Autre Futur Luttes Sociales

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    L’agenda de l’AG populaire Nuit Debout 20/28 juin 2016

    19 Juin 2016

     

    Lundi 20 juin : Collages pour le 22 + affiches généralistes : Rendez-vous à 19h à la Mauvaise Réputation – On a besoin de gens pour coller !

    Mercredi 22 juin : S’opposer à la venue de Gattaz à la Grande-Motte
    Action de lutte anti-parasites : Du bruit contre leurs profits !

    4 rendez-vous :
    – 17h sur place (Palais de congrès de la Grande-Motte) pour ceux et celles qui ne vivent pas sur Montpellier et ne participent donc pas au co-voiturage
    – 16h15 et 17h30 : parking du multiplexe d’Odysseum, au plus près de l’arrêt de tram Place de France (Ligne 1 dir. Odysseum)
    – 16h30 : Local de Solidaires, rue Lakanal

    Prévoir un pique-nique et de quoi faire du bruit !

    Attention pas de réunion inter-commissions mercredi !

    Jeudi 23 juin : Journée d’action intersyndicale – Tract à venir

    10h : Départ en manif da ZAD Las Rebes
    12h : Rassemblement Comédie et pique-nique revendicatif
    14h : Départ en manif
    15h30 : Rassemblement de soutien aux migrants, place Zeus

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/06/Collectif-Migrant-e-s-Bienvenue-34_Appel-Rassemblement-160623.pdf »]

    Samedi 25 juin :

    16h : Débat sur la comédie contre la marchandisation de la santé en présence de salarié-e-s de SANOFI (Précisions à venir)
    16h30 : Rendez-vous pour l’organisation de l’AG à la Mauvaise Réputation – Mobilisez-vous, nous avons besoin de gens pour tenir l’AG !
    18h : AG populaire Nuit Debout – Comédie
    22h30 : Carnaval festif et revendicatif

    Dimanche 26 juin : Journée anti-répression à Las Rebes (Précisions à venir)

    Mardi 28 juin : journée d’action intersyndicale

    12h : Rassemblement à la préfecture puis départ en Manifestation A l’issue de la manifestation : AG de Convergence des luttes ( Ci dessous, le courrier envoyé aux personnes ayant travaillées avec nous depuis le début du mouvement)

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/06/communiqué-28.pdf »]

    19h30 : AG pour la préparation d’un Pink Bloc pour le marche des fiertés de juillet à la Mauvaise Réputation (communiqué en pj)

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2016/06/communiqé-pink-bloc.pdf »]

    Retrouver toute notre actualité sur le site de l’AG populaire Nuit Debout  http://nuitdeboutmontpellier.org

    Par Groupe Un Autre Futur Luttes Sociales

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    Agenda de l’AG populaire Nuit Debout – Semaine du 13 au 19 juin

    12 Juin 2016

    Lundi 13 juin : diffusion de tract à l’appel de l’intersyndicale :  rendez-vous à 7h30 au rond-point de la Lyre (arrêt de tram Occitanie)

    Mardi 14 juin : journée de grève et de manifestation à Paris et partout en France
    5h : Action « tartiflette » (action de blocage) appelée par Solidaires : rendez-vous à 5h au local rue Lakanal, et à l’arrêt de tram Sabines.
    12h
    : Pique-nique revendicatif 12h au Peyrou puis départ en manif à 14h place du Peyrou.

    Vendredi 17 juin
    17h
    : action « gaspacho » (action de blocage) appelée par Solidaires. Rendez-vous à l’arrêt de tram Sabines.
    19h
    : Soirée de solidarité avec les inculpé-Es du mouvement social – Local du NPA, faubourg Boutonnet.

    Jeudi 23 juin : appel de l’intersyndicale nationale à une journée de grève et de manifestations.

    Mardi 28 juin : appel de l’intersyndicale nationale à une journée de grève et de manifestations.

    Retrouvez des articles et l’ensemble des productions de l’AG populaire Nuit Debout sur le site http://nuitdeboutmontpellier.org

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