Macron élu en 2017 a voulu faire de l’écologie un symbole, d’abord de son ambition internationale – «Make the planet great again», «Champion de la Terre» en 2018. Après la médiatique nomination de Hulot, l’arrêt de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’annonce de la neutralité carbone de la France d’ici 2050 et le très banquier One Planet Summit pour les accords de Paris, les attentes ont vite été déçues : ce n’était que symbolique, pur outil de communication. De l’argent pour l’apparat des sommets, mais pas pour empêcher le changement climatique, et surtout sans demander le moindre effort aux capitalistes. Car dans le système macroniste, ce sont les classes populaires qui triment, qui galèrent et qui paient pour le pillage de la planète par le capital. La suite ici.