Commission féministe

  • Le 8 mars : contre l’oppression des femmes par les hommes, nous serons en grève et dans la rue

    Le 8 mars : contre l’oppression des femmes par les hommes, nous serons en grève et dans la rue

    27 Fév 2021

    Quand c’est dur pour tout le monde, c’est pire pour les femmes. Le contexte épidémique ne déroge pas à cette triste règle : il y a eu encore plus de violences au sein des couples pendant le confinement, les femmes perdent plus d’emplois que le hommes (les femmes sont majoritaires dans la restauration et le commerce, les emplois précaires qu’elles occupent en majorité sont ceux qui disparaissent), les premières de cordée sont encore plus exploitées que d’habitude (aides à domicile, soignantes, couturières).

    Et pourtant le confinement a montré que c’est effectivement grâce au soin aux autres dans toutes ses dimensions, à l’écoute, au partage et à la solidarité que nous pouvons survivre au capitalisme et à ses crises. Mais les métiers du soin et du service sont redevenus invisibles et déconsidérés. Parce que ce sont des métiers de femmes, et souvent de femmes racisées.

    Des luttes existent, longues et parfois victorieuses mais souvent négligées par les médias. Parmi elles, depuis 17 mois, la grève des femmes des femmes de chambre d’origine africaine de l’hôtel Ibis Batignolles fait figure d’exemple.

    Partout dans le monde, les femmes manifestent contre les violences et pour leurs droits

    Le 8 mars 2018, les femmes zapatistes lors d’une rencontre qui a réuni 8 000 femmes du monde entier,ont affirmé la nécessité d’en finir avec le système capitaliste patriarcal. Leur message fait écho à la réalité vibrante dufront des femmes duKurdistanet leur expérience au sein du confédéralisme démocratique.

    Dans toute l’Amérique latine, de nombreuses manifestations sont organisées pour dénoncer les féminicides sous le slogan «Ni una menos» («pas une de moins»).

    Aux Etats-Unis, au Brésil, les femmes sont descendues massivement dans la rue contre leurs leaders d’extrême-droite.

    En France, c’est dans les médias et sur les réseaux sociaux que les femmes victimes de la plus précoce des violences patriarcales, l’inceste, se manifestent pour que plus aucune ne soit seule.

    Le droit à l’avortement, une revendication essentielle de notre classe

    Ce sont les femmes les plus pauvres qui avortent dans de mauvaises conditions dans les pays où l’avortement est interdit, les autres partent ou paient. De nombreuses femmes en meurent ou gardent des séquelles importantes. Une cinquantaine de pays seulement autorisent l’avortement sans conditions autres que le délai. Avorter librement, c’est enfanter librement, c’est faire l’amour librement, c’est se libérer d’une des conséquences des viols, c’est une des premières conditions de l’émancipation, de la liberté des femmes. La victoire des femmes d’Argentine est un grand encouragement aux femmes du monde entier.

    Vers un féminisme libertaire

    Partout les femmes font le choix de l’action directe et délaissent l’action parlementaire.

    Partout elles font aussi le choix de luttes collectives contre le pouvoir patriarcal, capitaliste, raciste en faveur de toutes les femmes.

    Comme l’écrit la Coordination Anarchiste Brésilienne : Que le féminisme soit une réalité pour les femmes d’en bas et que la lutte des femmes grandisse et se répande avec combativité, soutien mutuel et sororité dans tous les coins du monde.

    En France aussi, il nous faut construire les luttes collectives, partout mais surtout dans la rue.

    Le 8 mars nous serons en grève et dans la rue, pour le partage des tâches domestiques et des tâches de soin aux autres, pour une organisation anticapitaliste du travail et de la production, pour le respect de toutes les identités et sexualités, pour la disparition des frontières, pour la fin des violences commises par les hommes. Nous sommes nombreuses, nous sommes fortes, nous allons changer le monde.

  • 8 mars : Sous les masques, la colère gronde !

    8 mars : Sous les masques, la colère gronde !

    26 Fév 2021

    En ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, nous serons dans la rue pour défendre  nos droits. Nous dirons  notre colère, en manifestant et en faisant grève.

    7 et 8 mars 2021 : Mobilisation unitaire des organisations féministes de Montpellier  Voici les autres rendez-vous auxquels nous vous convions

    – Dimanche 7 mars

    Manifestation à 14h, place des pétroleuses (anciennement place du nombre d’or).

    Arrivée au Peyrou – Assemblée générale féministe (16h – 17h30).

    Lundi 8 mars, grève internationale féministe

    • Rassemblement et village associatif à partir de 13h, place des premières de corvée (anciennement place de la comédie).
    • Une conférence de presse sera organisée à 14h
    • Événement à 15h40.
    • A 19h30,  le 8 mars, sur la Web TV de la Carmagnole : Argentine, Pologne, France : Droits des femmes à disposer de leur corps : nous échangerons avec Natasza Quelvennec de l’Association pour la défense de la démocratie en Pologne, avec des membres argentines de l’association Sudakas et le Planning Familial : https://www.youtube.com/channel/UCpx23wstibQBMbIl3x2nDjg

    La liste des signataires et les communiqués seront disponibles le 2 mars

  • Un 25 novembre sous la pluie mais un 25 novembre revendicatif et créatif !

    Un 25 novembre sous la pluie mais un 25 novembre revendicatif et créatif !

    27 Nov 2020

    Les mobilisations des féministes à Montpellier pour la journée
    internationale contre les violences faites aux femmes se ré-inventent
    chaque année.

    Ces 21 et 25 novembre 2020 on été marqués par deux temps forts :

    – Le 21 un happening avec NousToutes à l’impulsion sur la comédie : une
    photo à la mémoire des victimes de féminicides à Montpellier.
    – Le 25 avec un appel des orgas/assos/syndicats/collectifs dont beaucoup
    accompagnent au quotidien des femmes qui subissent de plein fouet les
    violences machistes, économiques et sociales.

    Des dizaines de personnes sont passées toutes la journée pour déposer
    leurs visuels. Voici cette journée racontée en images.

    Des personnes présentes toute la journée malgré les averses :

    Des slogans par dizaine :

  • Journée internationale contre les violences faites aux femmes BRISONS LE PATRIARCAT !

    Journée internationale contre les violences faites aux femmes BRISONS LE PATRIARCAT !

    26 Nov 2020

    Le 25 novembre, c’est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes par les hommes. Chaque jour, en France, des femmes sont victimes de violences psychologiques, verbales, économiques,obstétricales, gynécologiques, physiques ou sexuelles. Une femme meurt tous les 3 jours assassinée par son compagnon ou son ex­-compagnon (87 féminicides connus à la date du 22 novembre). 60% des femmes ont été victimes de harcèlement sexuel au travail. 4 millions de personnes en France ont été victimes de viol incestueux.

    En moyenne, le nombre de femmes qui, au cours d’une année, sont victimes de viol et/ou de tentatives de viol est estimé à 94.000. Qu’elles aient lieu à la maison, au travail ou dans la rue, les violences sont le produit du système patriarcal. Elles sont aggravées par la gestion de la crise sanitaire, la crise sociale, la crise écologique.

    Nos mobilisations de ces dernières années, en France et partout dans le monde ont réussi à sortir les violences sexistes et sexuelles de l’ombre, à mettre enfin sur le devant de la scène la parole des femmes. Pourtant, pouvoirs publics et employeurs se limitent à des engagements sans lendemain. Le président de la République nomme un ministre de l’Intérieur mis en cause pour viol et tourne le dos à sa soi-disant grande cause nationale et les hommes, de pouvoir ou non, ne se saisissent pas de la question et ne font pas le ménage dans leurs rangs.

    Le patriarcat frappe également avec force les personnes LGBTI : l’homophobie et la transphobie sont ainsi souvent source d’exclusion sociale et amènent à des parcours de vie difficile, une situation empirée par la crise sanitaire. Les femmes lesbiennes, bisexuelles, et/ou transgenres subissent ainsi à la fois le sexisme et les LGBTphobies. Dans plusieurs villes, les initiatives autour du TDOR, jour célébrant le souvenir des personnes trans assassinées à travers le monde (350 meurtres transphobes connus au 20 novembre), ont été associées à celles du 25 novembre pour montrer ces convergences avec les luttes trans.

    Les femmes peuvent aussi être victimes de racisme. Qu’elles soient migrantes ou non, avec ou sans papiers, elles sont exposées à de multiples violences, à la précarité, pendant la migration et en France. La politique néocoloniale de l’État français aggrave la situation des femmes en Afrique, au Proche et Moyen Orient. Les interventions militaires tuent, accroissent le chaos! Le viol comme arme de guerre et la traite des êtres humains se banalisent.

    Mais les femmes sont aussi en première ligne dans les luttes.

    Les hospitalières, les enseignantes, les femmes de ménage de l’hôtel Ibis, chez les Mac Do, et chez H&M se battent pour leur condition de travail et contre le harcèlement sexiste et sexuel au travail. La dévalorisation des métiers à majorité féminine sont le terreau nourrissant les violences sexistes et sexuelles. Sur tous les continents, au Chili, au Brésil, en Algérie, en Pologne, les femmes se lèvent pour dénoncer les injustices, les violences sexistes et sexuelles, les viols, les féminicides!

    Aujourd’hui nous sommes dans la rue pour rappeler notre droit fondamental à vivre et à travailler à l’abri des violences  : les femmes, aujourd’hui victimes de violences, peuvent être protégées et les auteurs de violences doivent être sanctionnés. Dans tous les espaces de vie, la question des violences doit être posée. Et traitée. L’Union Communiste Libertaire participe à ces luttes! Et nous préparerons un vrai 8 mars de lutte. Une vraie grève générale des femmes pour dire stop à la maltraitance, à la violence, à la pauvreté, aux inégalités. Une grève générale des femmes pour dire aux hommes : ça suffit, arrêtez de nous faire du mal. Pour dire à ceux qui n’en font pas : bougez vous, ne les laissez plus faire. Une grève générale des femmes pour ressentir notre force, parce que si on s’arrête toutes, tout s’arrête. Une grève générale des femmes pour prendre une journée pour se parler, pour s’organiser, pour préparer la lutte d’après. Une grève générale des femmes contre les hommes violents, contre les hommes passifs, contre les institutions complices, contre notre exploitation et enfin pour notre émancipation.

    Préparons les caisses de grève pour les plus pauvres d’entre nous. Discutons dans nos boîtes, nos syndicats et nos quartiers. Inventons des actions de rue visibles et puissantes, fortes et sauvages. Refusons d’être douces et gentilles et laissons notre colère exploser et tout emporter!

  • Contre les violences faites aux femmes : Confinées mais pas bâillonnées !

    21 Nov 2020

    Les femmes représentent 39% des emplois occupés dans le monde mais 54% des emplois perdus suite au Covid-19. 4 millions de personnes en France ont été victimes d’inceste, 94.000 femmes sont victimes de viol ou tentative de viol chaque année (ONDRP, 2017), 32% des femmes ont déjà subi du harcèlement sexuel au travail (Ifop, 2018) et tous les 2 jours, une femme meurt assassinée par son compagnon ou son ex-compagnon [1]. Les injures transphobes et lesbophobes ont augmenté de 36% en France en 2019.

    Contre les violences faites aux femmes, CONFINÉES MAIS PAS BÂILLONNÉES !

    Vidéo de la commission antipatriarcat de l’UCL (antipatriarcat@communisteslibertaires.org) et du groupe de travail vidéo. Les femmes représentent 39% des emp…

    Cette année, mobilisons-nous en masse pour la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes! Confinées, mais pas bâillonnées!

    Union communiste libertaire le 20 novembre 2020

    [1] voir la liste

  • Le mercredi 25 Novembre : Brisons le silence !

    19 Nov 2020

    Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des minorités de genre 25 novembre 2020 : Brisons le silence ! 

    Rassemblement/point presse à 13h aux jardins du Peyrou, place Royale de Montpellier 

    Le collectif inter-asso-orga de Montpellier appelle toutes celles et tous ceux qui veulent en finir avec les violences sexistes et sexuelles et avec les féminicides.

    Nous sommes confinées , masquées mais plus jamais vous n’aurez le confort de nos silences !
    Prépare ta pancarte ! Exprime toi ✊
    On inonde les réseaux sociaux de photos
    #25novMTPbrisonslesilence
    C’est avec ce # que nous vous invitons à vous mobiliser pour la Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes et aux minorités de genre.
    Mercredi 25 novembre dès 11h nous investirons les grilles des jardins du Peyrou avec nos banderoles, pancartes, slogans, affiches féministes qui resteront en places toute la journée.
    Venez accrocher vos créations tout au long de cette journée contre le machisme, avec votre masque, votre attestation de sortie et on reste à distance, l’endroit est vaste.
    Si non , dès maintenant , photographie ta création féministe #selfie et envoie la photo sur brisonslesilencemtp@gmail.com nous la diffuserons sur les réseaux sociaux ou poste-la directement sur le mur de l’événement.
    Et puis tu peux ce jour là porter du violet, juste un ruban qui interpelle. Tu peux aussi accrocher un tissu violet à ta fenêtre, ta voiture, ton vélo, ton fauteuil, la poussette …

    Que nous soyons toujours plus nombreuses-x à dénoncer les violences patriarcales.

    Contre les violences faites aux femmes, CONFINÉES MAIS PAS BÂILLONNÉES !

    Vidéo de la commission antipatriarcat de l’UCL (antipatriarcat@communisteslibertaires.org) et du groupe de travail vidéo. Les femmes représentent 39% des emp…

  • Mobilisation pour le droit à l’avortement en Pologne

    02 Nov 2020

    En Pologne, le gouvernement réactionnaire a fait passer une loi pour interdire de fait l’avortement. En réponse, la mobilisation féministe est de taille. Il va de soit que nous soutenons cette lutte et le droit à l’avortement partout dans le monde.

    Nous vous partageons la chorégraphie « Je suis debout » faite par les féministes polonaises.

    « JE SUIS DEBOUT »: une chorégraphie féministe polonaise contre l’interdiction totale de l’avortement

    blackprotest #SupportPolishWomen #freedomofchoice  » AUCUNE D’ENTRE NOUS N’A PEUR  » Ces mots, ce sont ceux de toutes celles qui s’opposent à la destruction d…

  • Les colleuses féministes montpellieraines agressées L’antiféminisme passe à l’acte 

    11 Sep 2020

    Ce dimanche 30 août 2020, quatre colleuses féministes ont été insultées puis agressées à Montpellier : un homme leur a foncé dessus en voiture. Dans la soirée du 14 juillet 2020, six colleuses féministes nantaises étaient violemment interpellées par la police et agressées physiquement pour deux d’entre elles. Quatre sont convoquées au tribunal pour “violences envers personnes dépositaires de l’autorité publique”. Leur procès aura lieu en avril 2021.

    Depuis des années, la parole féministe contre les inégalités sociales, économiques et les violences faites aux femmes connait une nouvelle ampleur dans la société française, et plus largement à l’échelle internationale. Du mouvement #MeToo à #NousToutes, en passant par les mobilisations de novembre 2019 et de mars 2020, le combat féministe reprend une place centrale dans la lutte et dans le paysage politique. Néanmoins, en parallèle de ce retour sur le devant de la scène d’un discours féministe et antipatriarcal conséquent, la réaction antiféministe et les mouvements masculinistes se développent d’une manière inquiétante.

    Encouragés par un gouvernement faisant la promotion du fémonationalisme et n’hésitant pas à promouvoir un violeur présumé comme premier flic de France, sans parler de la finesse des positionnements du garde des sceaux, l’antiféminisme virulent et violent s’organise et ne fait que se renforcer depuis les mobilisations de la bien mal nommée manif pour tous. Mobilisations contre l’avortement et l’accès à la PMA pour toutes, libération d’un discours antiféministes et haineux dans les médias de grande audience, tout cela a pour conséquence la multiplication d’agressions de militantes féministes, amenant certains à agir dans l’impunité la plus totale.

    Le système patriarcal qui nous opprime est responsable de la montée des attaques violentes que subissent les femmes dans leur ensemble. Face à cela, nous ne pouvons compter que sur nous même pour organiser notre auto défense, face aux agresseurs, aux meurtriers et à ceux qui voudraient voir les femmes retourner au rôle que leur assigne le patriarcat.

    Solidaires avec les colleuses féministes, occupons la rue !

    Créons partout des contre-pouvoirs féministes !

  • Agression anti-féministe à Montpellier

    08 Sep 2020

    Le journal La mule du Pape a publié dans l’un de ses derniers articles une agression d’un groupe de colleuses féministes à Montpellier. Cette agression est un signe de plus de la montée du masculinisme et du fascisme dans nos villes.

    Nous apportons notre soutien aux victimes

    .https://www.lamuledupape.com/2020/09/02/un-automobiliste-percute-volontairement-des-colleuses-feministes-a-montpellier/

  • Solidarité avec Alice Coffin face à l’hétéropatriarcat

    29 Juil 2020

    Le 23 juillet dernier, des féministes ont manifesté pour exiger la démission de Christophe Girard, adjoint à la culture de la Mairie de Paris, en raison de son soutien à Gabriel Matzneff. Matzneff est un pédocriminel, notamment accusé par Vanessa Springora dans son livre « Le consentement ». Matzneff avait publié un ouvrage, « La prunelle de mes yeux » consacré à ces agissements ignobles, et ce livre est dédié à Girard. Ce dernier a aussi aidé Matzneff a financé la chambre d’hôtel dans laquelle il recevait sa victime. Devant la mobilisation, Girard a fini par démissionner.

    Alice Coffin, élue verte au conseil de Paris a applaudi à la manifestation et à la démission. Elle a aussi crié «La honte, la honte» quand une ovation debout a été faite à Girard au Conseil de Paris, à la demande du préfet Lallement, suivi par Anne Hidalgo et une grande majorité du conseil municipal. Hidalgo a soutenu et continue de soutenir Girard malgré le fait qu’elle a elle-même fourni au parquet les notes de frais pour les repas avec Matzneff que l’adjoint au maire a fait payer aux contribuables. Elle a également déclaré vouloir porter plainte contre les slogans de la manifestation. Alice Coffin a plusieurs caractéristiques qui énervent : c’est une femme, elle est féministe et elle est lesbienne, et elle ne s’en cache pas. Elle a le courage de dire haut et fort que la famille avec une couple de parents hétérosexuel est un lieu dangereux pour les femmes et pour les enfants.

    Elle est aujourd’hui victime de harcèlement et de menaces au point d’avoir été mise sous protection policière.

    Nous ne sommes évidemment pas d’accord avec le programme d’EELV, et ce n’est pas l’élue que nous soutenons, mais la femme lesbienne victime de harcèlement misogyne et lesbophobe parce qu’elle s’est élevée contre l’hétéropatriarcat, lequel s’est ici distingué par son soutien inconditionnel à la pédocriminalité.

    Nous affirmons haut et fort notre solidarité avec Alice Coffin.

    Commission Antipatriarcat, le 28 juillet 2020.