Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the the-events-calendar domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /home/alternat/glmontpellier/wp-includes/functions.php on line 6114
Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the mpc domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /home/alternat/glmontpellier/wp-includes/functions.php on line 6114
Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the widgetize-pages-light domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /home/alternat/glmontpellier/wp-includes/functions.php on line 6114
Deprecated: Methods with the same name as their class will not be constructors in a future version of PHP; OrangeIdea_Popular_Posts_Widget has a deprecated constructor in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga/framework/widgets/oi_popular_posts.php on line 34
Deprecated: Methods with the same name as their class will not be constructors in a future version of PHP; OrangeIdea_Latest_Posts_Widget has a deprecated constructor in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga/framework/widgets/oi_latest_posts.php on line 34
Deprecated: Methods with the same name as their class will not be constructors in a future version of PHP; OrangeIdea_Latest_Posts_Simple_Widget has a deprecated constructor in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga/framework/widgets/oi_latest_posts_simple.php on line 34
Deprecated: Methods with the same name as their class will not be constructors in a future version of PHP; OrangeIdea_Recent_Posts_Comments_Widget has a deprecated constructor in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga/framework/widgets/oi_recent_posts_comments.php on line 32
Deprecated: Methods with the same name as their class will not be constructors in a future version of PHP; OI_Instagram_Widget has a deprecated constructor in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga/framework/widgets/oi_instagram_widget.php on line 33
Deprecated: Methods with the same name as their class will not be constructors in a future version of PHP; OrangeIdea_Twitter_Widget has a deprecated constructor in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga/framework/widgets/twitter/oi_twitter_widget.php on line 33 Antifascisme – Page 5 – Union Communiste Libertaire Montpellier Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/alternat/glmontpellier/wp-includes/functions.php on line 6114
Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/alternat/glmontpellier/wp-includes/functions.php on line 6114
Notice: La fonction WP_Scripts::localize a été appelée de façon incorrecte. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/alternat/glmontpellier/wp-includes/functions.php on line 6114
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
L’attentat perpétré à Bayonne par un ancien candidat FN
vient dramatiquement prolonger l’offensive islamophobe menée par des
responsables politiques et des journalistes haineux. L’UCL condamne
cette attaque et s’associe d’ores et déjà à la construction d’une
riposte unitaire des associations, des organisations syndicales et des
organisations politiques.
L’Union communiste libertaire condamne avec force la
violente attaque islamophobe d’extrême-droite perpétrée ce lundi
28 octobre 2019 contre la mosquée de Bayonne. Une fois encore, des
personnes ont été visées parce qu’elles sont de confession musulmane.
En premier lieu, nous exprimons toute notre solidarité envers les
personnes blessées, et envers les fidèles de la mosquée. Nous sommes
solidaires de toutes les personnes de confession musulmane de France,
qui symboliquement, sont aussi la cible de cette attaque.
L’UCL défend la liberté de conscience et de culte, pour toutes et
tous, et dénonce les persécutions et et les interdictions à l’égard des
croyantes et des croyants.
L’auteur de l’attaque est un ancien militant et candidat du FN qui
assume ouvertement des positions racistes, admirateur du polémiste
racialiste Eric Zemmour et partisan des théories complotistes et
racistes de « l’islamisation » et du « grand remplacement »,
initiées par l’écrivain Renaud Camus et diffusées par l’extrême droite.
Cette attaque vient s’ajouter à la longue liste des attentats d’extrême
droite perpétrés partout en Occident (Canada, Nouvelle-Zélande,
États-Unis, Allemagne) et elle s’inscrit dans la continuité des discours
racistes vomis ici comme ailleurs par les responsables politiques et
les ténors médiatiques.
Rappelons ainsi que cette attaque survient trois semaines après
l’agression verbale d’une femme accompagnant une sortie scolaire et
sommée de retirer son voile en pleine séance au conseil régional de
Bourgogne-Franche-Comté par un élu RN. Rappelons également que l’abject
Zemmour a obtenu une émission quotidienne sur CNews malgré sa
condamnation pour provocation à la haine raciale et poursuit son travail
d’instillation des idées d’extrême droite. Enfin, le vote au Sénat
d’une proposition de loi visant l’interdiction du port du voile pour les
accompagnatrices scolaires montre qu’une partie des responsables
politiques ne cherche pas l’apaisement mais au contraire surenchérit en
votant une mesure islamophobe, ajoutant de la haine à la haine.
Nous devons organiser les solidarités pour lutter contre la
banalisation des violences. Il y a urgence à briser l’offensive
islamophobe et à agir concrètement, à tous les niveaux, contre le poison
raciste.
D’ores et déjà plusieurs groupes de l’UCL ont pris des initiatives en
ce sens : rassemblements, réunions publiques, impulsion de cadres
unitaires locaux… Notre organisation s’inscrit par ailleurs activement
dans les démarches unitaires entreprises nationalement pour construire
une riposte à la hauteur de l’attaque. Aux côtés de l’ensemble des
organisations politiques, syndicales et associatives décidées à s’y
engager, l’UCL prendra toute sa part dans le nécessaire combat contre
l’islamophobie.
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Après les attaques contre la synagogue de Pittsburgh
(États-Unis) fin octobre 2018 et contre deux mosquées de Christchurch
(Nouvelle-Zélande) en mars dernier, une nouvelle attaque antisémite a
fait deux mort·e·s à Halle dans l’Est de l’Allemagne ce mercredi
9 octobre.
Après les attaques contre la synagogue de Pittsburgh
(États-Unis) fin octobre 2018 et contre deux mosquées de Christchurch
(Nouvelle-Zélande) en mars dernier, une nouvelle attaque antisémite a
fait deux mort·e·s à Halle dans l’est de l’Allemagne ce mercredi
9 octobre.
Avant toute chose, l’Union communiste libertaire exprime sa
solidarité aux victimes et familles des victimes de ces attaques.
Les assassins se sont tous revendiqués de l’extrême-droite la plus
violente en propageant sur les réseaux leur haine des juifs ou des
musulmans et en appelant ouvertement à leur extermination. Certains
citent la théorie du grand remplacement de Renaud Camus pour justifier
leurs tueries, démontrant bel et bien l’appel au meurtre que les
idéologues néofascistes français disséminent dans leurs discours et dans
leur pensée.
Les caractères antisémites et islamophobes de ces fusillades ne font
aucun doute, pas plus que la responsabilité de l’extrême-droite qui
instrumentalise la xénophobie à des fins politiques.
Les menaces de
l’extrême droite à Halle (Saxe-Anhalt) ne datent pas d’hier. Ici, une
manifestation antinazie en décembre 2014 : Halle für alle ! (« Halle pour toutes et tous »)
cc Hallespektrum.de
Partout dans le monde les groupuscules néofascistes prennent
confiance et passent à l’acte. Ces mort·e·s ne sont pas le résultat de
« loups solitaires » ou de « déséquilibrés » mais résultent d’une
stratégie de terreur à l’encontre de personnes racisées ou perçues comme
telles.
Combien de mort·e·s avant de considérer la réelle menace que
représente l’arrivée au pouvoir des partis d’extrême-droite et la
légitimation des idées racistes et fascisantes que des groupuscules
violents et armés mettent en acte ?
Nous n’avons rien à attendre de la bourgeoisie au pouvoir ni de ses
institutions démocratiques, le combat contre l’extrême-droite est et
restera un combat de la base contre le racisme et la xénophobie, contre
l’antisémitisme et l’islamophobie, contre le patriarcat et les violences
sexistes et LGBTIphobes !
Solidarité avec les victimes et familles des victimes de ces crimes racistes !
Construisons collectivement un antifascisme solidaire et
internationaliste pour en finir avec l’idéologie mortifère de
l’extrême-droite et de ses alliés !
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
L’annonce du 10 septembre dernier par la Commission
européenne de nommer le ministère des migrations : « Protéger notre mode
de vie européen » est plus qu’inquiètante et relève clairement d’une
stratégie de glissement vers une politique d’extrême-droite de cette
institution.
Outre le fait que cette appellation cible directement
les personnes migrantes comme néfastes et dangereuses, elle valide
ouvertement la théorie du « grand remplacement » diffusée largement par
l’extrême-droite et ses alliés objectifs de la droite conservatrice et
libérale. Même s’il n’y avait absolument rien à attendre en matière de
migration de la Commission européenne et de sa future présidente, Ursula
von der Leyen, cet intitulé marque un réel basculement. Malgré la levée
de bouclier de la gauche et des sociaux-démocrates au Parlement
européen, malgré les dénonciations de toutes parts et l’approbation par
le dirigeant d’extrême-droite hongrois Viktor Orbán, Von der Leyen
persiste et campe sur sa position.
Le fantasme d’une Europe blanche et chrétienne menacée par les
« envahisseurs » n’est pas seulement affirmé par la dénomination de ce
ministère mais aussi par sa politique répressive et protectionniste à
l’égard des migrantes et migrants. Pour protéger son mode de vie, la
majorité de droite compte sur l’État, la sécurité intérieure et le
renforcement des frontières. Autant d’outils dont la violence a déjà
sévi maintes fois ces 20 dernières années et s’est illustrée par des
dizaines milliers de noyé·e·s en Méditerranée, des camps de rétention
inhumains notamment en Grèce et des politiques d’expulsion
quasi-systématique de celles et ceux qui sont parvenu·e·s à se réfugier
en Europe.
Pour nous, cette stratégie ouvre les portes du pouvoir à
l’extrême-droite en acceptant sa rhétorique et en mettant en pratique sa
politique. Comme à chaque fois qu’elle se sent acculée, la bourgeoisie
instrumentalise la misère pour conserver son pouvoir et infléchit son
discours de plus en plus vers la droite jusqu’à se confondre avec celui
de l’extrême-droite.
Cette politique de racisme d’État et de xénophobie annonce la
couleur : les digues sont en train de sauter à toutes les échelles et
les institutions, qu’elles soient locales, nationales ou
internationales, s’engouffrent dans la brèche populiste pour maintenir
l’illusion du contrôle. Alors que sur tout le territoire européen, la
solidarité envers les rescapé·e·s des guerres impérialistes,
néo-coloniales et économiques s’organise tant bien que mal, la classe
dirigeante s’attaque toujours plus à celles et ceux qui luttent à leurs
côtés en les réprimant sauvagement et en criminalisant leurs actions de
soutien.
Nous combattons au quotidien ces injustices et la violence de l’État.
Nous refusons les termes du débat sur les migrations qui nous sont
imposés par une minorité de bourgeois et de racistes, inquiète de voir
que, partout dans le monde, leur ordre social injuste et leur pouvoir
illusoire ne tient plus qu’à un fil à mesure que le capitalisme se
désagrège. Nous sommes pour la destruction des frontières et les
solidarités internationales du plus grand nombre contre les oppressions
et les oppresseurs. Nous n’avons rien à craindre de la différence et
tout à y gagner car l’avenir réside dans l’entraide et la coopération et
non dans la vision étriquée du monde de quelques puissants.
Organisons-nous partout pour poursuivre le combat contre
l’extrême-droite et ses idées, en Europe et dans le reste du monde,
localement comme internationalement. À bas les frontières et la violence
étatique pour un antifascisme populaire et international !
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Depuis 2016, l’armée turque occupe le canton de Shehba en Syrie du nord ; depuis 2018, elle occupe le canton d’Afrîn ;
depuis juillet 2019, elle mène des opérations dans le nord de l’Irak
contre la gauche kurde. Elle encercle désormais le Kurdistan syrien
(Rojava) sur 3 fronts, et négocie dur avec les États-Unis et la Russie
pour obtenir une nouvelle zone d’occupation dans le canton de Cizîrê, au
Rojava.
Le 12 juillet, le régime d’Erdogan a lancé l’opération
Claw 2 dans le nord de l’Irak, notamment dans la région des monts
Qandil, tenue par les forces révolutionnaires kurdes.
Une première attaque (opération Claw 1) avait été menée dans la
région de Hakurk (Irak) en mai, sans succès. Ces deux opérations
semblent faire partie d’un plan plus large impliquant une invasion
potentielle de l’est de l’Euphrate, en Syrie du nord, contre les forces
révolutionnaires du Rojava.
La Turquie a augmenté sa présence militaire le long de la frontière
du Rojava, amassant plus de 50 chars d’assaut, batteries d’artillerie et
véhicules blindés près de Tal-Abyad.
A al-Bab et Jarablus, les mercenaires de l’Armée syrienne libre (ASL)
auraient en outre été placé en alerte maximale, tandis que leurs
généraux ont rencontré leurs parrains turcs pour discuter des détails
d’une offensive.
Ankara a également commencé à démonter le mur construit le long de la frontière nord du Rojava, notamment près de Tal-Abyad.
Dans le canton d’Afrîn occupé, au Kurdistan turc comme irakien,
l’armée turque fait cependant face à une résistance féroce. Chaque jour,
elle subit des attaques et la progression de ses troupes a même été
stoppée au nord de l’Irak.
Qu’est-ce qui retient la Turquie d’attaquer directement le Rojava qu’elle encercle désormais en bonne partie ?
Le feu vert de ses alliés russe et états-unien. La revendication
d’Ankara est de pouvoir occuper une bande de territoire de 30 kilomètres
de profondeur tout le long de sa frontière, au titre d’une « zone
tampon », soit disant pour des raisons de « sécurité ». Or, dans cette
zone tampon, se trouveraient plusieurs principales villes du Rojava :
Qamislô (capitale de la Fédération démocratique de Syrie du nord),
Kobanê, Tal-Abyad, Derîk…
Ankara compte ouvertement y installer une partie des 3 millions de
réfugié·es syrien·ne qui vivent sur son sol, en vertu de la bonne
vieille politique ottomane de déportation de populations en fonction des
intérêts politiques du moment.
Peut-on imaginer que, demain, Kobanê, où la gauche kurde mit un coup
d’arrêt à l’expansion djihadiste, Kobanê soit occupée par l’armée
turque, qui a parrainé Daech pendant des années ?
Après l’invasion du canton d’Afrîn, qui a fait des milliers de morts
et conduit à une épuration ethnique, avec 250 000 Kurdes chassé·es de
leurs maisons et remplacé·es par les familles des mercenaires de l’ASL,
on est en droit de craindre une nouvelle opération de ce type.
Pour le moment, Russes et États-uniens tergiversent et s’opposent
mollement aux revendications d’Ankara. Le Rojava n’est pas à l’abri d’un
arrangement impérialiste à ses dépens.
Les révolutionnaires à travers le monde devraient se préparer à cette
éventualité. Des combattantes et combattants volontaires continuent de
se battre aux côtés des YPG-YPJ, comme le groupe Tekoşîna Anarşîs
(Combat anarchiste) que nous saluons au passage. La solidarité est
primordiale, il faut continuer à la faire entendre pour défendre la
liberté et la révolution au Kurdistan.
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
En prison depuis le 18 avril, Antonin Bernanos, militant
antifasciste, devait être remis en liberté le 18 août. Sur appel du
Parquet du Paris, sa détention a été prolongée de quatre mois le 12 août
dernier. Antonin doit être libéré et dès maintenant !
Ce qui lui est reproché ? Une bagarre avec des membres des « Zouaves » Paris, un groupuscule fasciste ultra-violent. Antonin nie y avoir participé.
L’acharnement judiciaire qu’il subit, comme militant antifasciste,
est sans commune mesure avec la tolérance dont bénéficie
systématiquement devant la justice les nervis et meurtriers d’extrême
droite.
Antonin est en prison aujourd’hui quand Esteban Morillo et Samuel
Dufour, les assassins de Clément Méric, ont déjà été libérés malgré de
lourdes condamnations.
Dans le même temps, l’État Français menace d’extradition Vincenzo Vecchi
en Italie où il est condamné à une peine de prison notamment pour avoir
participé à une manifestation antifasciste en 2006.
Nous refusons catégoriquement de renvoyer dos à dos les militant·es antifascistes aux bandes et partis d’extrême droite.
Être antifasciste c’est se battre pour un monde débarrassé de la
haine, des exclusions et des discriminations, être d’extrême droite
c’est promouvoir une société fondée sur la violence et les inégalités.
L’Union communiste libertaire soutient et soutiendra sans réserves
toutes et tous les militant·es antifascistes : liberté pour Antonin,
maintenant !
Nous assurons ses proches de notre entière solidarité ainsi que le collectif « Libérons-lez ».
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Un militant anticapitaliste Italien à été arrêté et incarcéré par la police française jeudi en Bretagne. Il à été condamné en Italie à 12 ans de prison pour avoir participé aux manifestation contre le G8 de Gênes en 2001. Exigeons sa libération immédiate.
Il y a quelques mois c’était Bolsonaro qui livrait Cesare Batisti à Salvini. Aujourd’hui c’est l’État francais qui livre Vincenzo Vecchi. L’entraide est de mise entre pouvoirs répressifs.
Vincenzo est aujourd’hui incarcéré et menacé d’extradition pour avoir
avoir participé aux manifestation contre le G8 de Gênes en 2001 ainsi
qu’a une manifestation antifasciste a Milan en 2006. Condamné en 2012
par la cour de cassation Italienne, il a décidé de fuir cette peine
totalement injuste et révoltante.
Faut-il rappeler qu’en 2001 à Gênes, lors du contre-sommet du G8, la police à assassiné Carlo Giuliani et qu’elle à torturé des militant-e-s dans l’école Diaz. Ces crimes et violences ont été reconnu en 2017 par le chef de la police lui-même et ont été considérés par Amnesty International comme « le plus grave manquement aux droits démocratiques dans un pays occidental depuis la seconde guerre mondiale ». Pourtant justice n’a toujours pas été faite et c’est un militant italien réfugié en Bretagne, a qui on reproche d’avoir cassé des vitrines il y a 18 ans qui est aujourd’hui emprisonné.
Est-ce un hasard si cette arrestation intervient à seulement 15 jours du contre-sommet qui se prépare à Biarritz contre le G7 ?
N’est ce pas un message d’intimidation envoyé au mouvement social à
l’aube d’un sommet complètement bunkerisé ou la répression s’annonce une
fois de plus féroce ?
L’Union communiste libertaire exprime toute sa solidarité envers
Vincenzo et appelle a se joindre au rassemblement qui aura lieu a Rennes
ce mercredi 14 août à 11 h devant la Cour d’appel de Rennes, ainsi qu’a
toutes les initiatives de soutien qui seront organisées.
Liberté pour Vincenzo ! Justice pour victimes du G8 de Gênes !
Union communiste libertaire, le 12 aout 2019
Un comité de soutien a vu le jour dans la ville de Vincenzo, pour le contacter :
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Nous vous relayons cette appel reçu par le Centre Démocratique Kurde de Montpellier, une manifestation partira du Peyrou samedi 3 août à 19h.
Faisons du 3 août la Journée internationale de lutte contre le féminicide par le biais de notre organisation conjointe !
Le 3 août 2019 marque le cinquième anniversaire de l’attaque génocidaire perpétrée par l’État islamique [DAESH ou ISIS] contre les Kurdes yézidis [Yazidis ou Yézidis] dans la ville de Sinjar, au nord de l’Irak. A partir du 3 août 2014, les attaques et les massacres ont provoqué une catastrophe humanitaire mais, surtout, ont eu pour objectif génocidaire d’éradiquer toute la communauté yézidie. Les femmes ont été systématiquement prises pour cible dans ce génocide et il s’agit donc aussi d’un féminicide.
Le 3 août 2014, le monde a été témoin d’une attaque génocidaire de la part de la Société de l’Information, dont le but ultime était d’éliminer une des plus anciennes communautés religieuses du monde, les Yézidis. Sans défense et sans défense lorsque les troupes peshmergas du Parti démocratique du Kurdistan (PDK) se sont retirées de leurs positions à Sinjar sans avertissement préalable, la communauté yézidie a été systématiquement massacrée, violée, torturée, déplacée, réduite à l’esclavage des filles et des femmes et recrutée de force comme enfants soldats.
Selon des informations non officielles, plus de 5 000 femmes et enfants ont été enlevés et vendus sur les marchés aux esclaves au cours de l’agression. Les femmes et les filles ont été vendues non seulement dans le nord de l’Irak et en Syrie, mais aussi dans des pays comme l’Arabie saoudite, où elles continuent à être détenues et exploitées comme esclaves sexuelles. Les Nations Unies ont qualifié officiellement de « génocide » l’attaque de DAESH contre les Yézidis. Pour la communauté religieuse yézidie, ce génocide n’est qu’un des 74 génocides qui ont marqué son histoire. Avec ce génocide du XXIe siècle, ils doivent faire face à l’amère réalité que leur existence, leur croyance et leur liberté ne peuvent être garanties que par l’autodétermination, l’auto-organisation et l’autoprotection. Les femmes, en particulier, jouent un rôle vital dans ce processus d’auto-organisation en réponse au génocide et au féminicide. Elles se sont débarrassées de leur victimisation et vont maintenant déterminer et prendre le contrôle de leur destin organisé au sein du Mouvement des Femmes Yézidies Libres à Sinjar et en Europe.
La communauté religieuse yézidie est confrontée à un défi de taille pour maintenir ce niveau d’organisation, car d’innombrables femmes, filles et garçons yézidis restent prisonniers de DAECH. Dans ce contexte, le féminicide contre les femmes yézidies se poursuit également. Le féminicide nous affecte tous. L’assassinat systématique de femmes en raison de leur sexe constitue un phénomène mondial et inclut la violence physique, mentale, économique et structurelle contre les femmes. La violence sexo-spécifique menace la vie de milliards de femmes à travers le monde alors que les auteurs restent impunis et impunis, comme c’est le cas pour le féminicide commis par DAESH. La raison en est que, contrairement au génocide, le féminicide n’est pas traité comme une catégorie distincte en droit national et international. Pourtant, le génocide se produit souvent par le biais d’un féminicide, tout comme dans le cas de Sinjar.
C’est pourquoi nous appelons les femmes du monde entier à proclamer le 3 août Journée internationale d’action contre le féminicide et à sensibiliser l’opinion internationale aux femmes enlevées, réduites en esclavage et assassinées de Sinjar.
Le Mouvement des Femmes Yézidies Libres lancera diverses manifestations ce jour-là et élèvera la voix pour la liberté des femmes yézidies
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Dans un contexte mondial favorable aux soudards,
Netanyahou a plus que jamais les coudées franches pour mener à bien sa
politique extrémiste. Donald Trump est son plus fidèle soutien avec un
projet « d’accord du siècle » qui dénierai la légitimité de toutes les revendications palestiniennes avec la bénédiction de l’Arabie saoudite.
Vous seriez Nétanyahou, vous changeriez ?
Non, bien sûr, puisque, quoique fasse Israël, cet État voyou n’est
jamais puni. Ses méthodes de mépris absolu pour ce qu’on appelle le « droit international » ou « les droits de l’homme » ont déteint. Trump, Mohammed ben Salmane, Bolsonaro, Al-Sissi, Orban, Duterte, Modi… Netanyahou est loin d’être isolé.
C’est Trump qui, dès le début de son mandat, a fait bouger les lignes. Le vice-président états-unien, Mike Pence, est un « chrétien sioniste ».
Ces évangélistes intégristes et antisémites ont joué un rôle majeur
dans le financement de la colonisation. Leur programme est d’une
simplicité « biblique » : faire revenir tous les Juifs en Terre Sainte, chasser le « mal »,
Armaggeddon (c’est-à-dire les Arabes), pour hâter le retour du Christ.
Puis ces Juifs devront se convertir à la vraie foi sous peine de
disparition.
En installant l’ambassade états-unienne à Jérusalem, Trump espérait
que son initiative ferait tache d’huile. Cela n’a pas marché. Même
Bolsonaro s’est rendu compte au dernier moment qu’il risquait de mettre
en péril les exportations brésiliennes.
Trump, dans la foulée, a reconnu l’annexion du Golan. Ce territoire
syrien a été conquis en 1967 alors que les travaillistes étaient au
pouvoir, puis annexé par un vote quasi unanime. Trump compte à présent
proposer le « deal du siècle » :
l’annexion de toutes les colonies, la disparition du statut de réfugié,
un pourboire pour accepter la capitulation et un déluge de feu en cas
de refus.
Le camp pro-impérialiste du monde arabe, représenté par l’Arabie
saoudite, les autres monarchies du golfe, l’Égypte et le Maroc, n’a plus
aucune pudeur à afficher sa complicité avec Israël. MBS, le prince
héritier et vice-Premier ministre saoudien ne se contente plus de
découper ses opposants à la scie ou de mener une politique génocidaire
au Yémen. Il demande ouvertement aux Palestiniennes et Palestiniens de
capituler et cherche à entraîner tout le monde sunnite dans sa croisade
contre l’Iran. Autre soudard du monde arabe, le dictateur égyptien
Al-Sissi participe efficacement au blocus de Gaza.
La fascisation d’Israël
Il y a les alliés mais aussi les complices. Le secrétaire général de
l’ONU, Antonio Guterres, a enterré le rapport de Richard Falk et
Virginia Tilley qui concluait qu’Israël est un État d’apartheid. La
diplomatie française a pondu un seul communiqué dans la période récente
en reprochant au Hamas d’envoyer des roquettes sur la population
d’Israël ! L’Union européenne se tait quand
le gouvernement israélien annonce qu’il va revendre aux enchères du
matériel payé par l’Europe, donné aux Palestiniens et confisqué par
Israël. En Allemagne le Bundestag a voté à une écrasante majorité un
texte criminalisant la campagne Boycott-Désinvestissement-Sanctions en
l’assimilant à de l’antisémitisme.
« En Israël pousse un racisme proche du nazisme à ses débuts » [1] écrit l’historien israélien Zeev Sternhell, qui n’a pourtant pas rompu avec le sionisme.
Il ne faut pas s’étonner d’une proximité très ancienne. Depuis 1977, avec de courtes interruptions, c’est le courant « révisionniste »
du sionisme, fondé il y a un siècle par Jabotinsky, qui est au pouvoir.
Jabotinsky a été un soutien du pogromiste Petlioura pendant la
Révolution russe puis un admirateur de Mussolini. Ses successeurs, comme
Yitzhak Shamir ont fait des offres de collaboration avec les nazis,
dans le cadre de la lutte contre les Britanniques en Palestine, au
moment de l’extermination des Juifs en Europe [2].
Aujourd’hui, les prédicateurs antisémites états-uniens Robert
Jeffress et John Hagee, sont invités à Jérusalem pour inaugurer la
nouvelle ambassade. Le ban et l’arrière-ban de l’extrême droite
européenne, y compris le vice-chancelier d’Autriche jusqu’en mai
dernier, Heinz-Christian Strache, issu de la mouvance néo-nazie,
multiplient les visites en Israël. Bolsonaro vient dans le pays
expliquer que les nazis étaient de gauche et qu’il faut pardonner
l’holocauste. Nétanyahou appuie fortement Orban qui réhabilite en
Hongrie le régime de l’amiral Horthy qui a contribué à l’extermination
des Juifs hongrois.
Sur le plan intérieur, dans la société juive israélienne,
l’allégeance est devenue obligatoire. Les partisans du boycott sont
criminalisés, les associations de défense des droits de l’homme sont
sommées de dévoiler leurs financements.
Contre les Palestiniennes et Palestiniens, il n’y a plus aucune retenue.
Les auteurs – soldats ou colons – d’assassinats de civils ne sont pas
poursuivis. Israël est devenu le laboratoire mondial de l’enfermement et
de la surveillance des populations jugées dangereuses. Ce pays dont
l’économie est celle d’une start-up technologique, est devenu le leader
mondial de ces technologies de pointe et des armes les plus
perfectionnées, avec comme argument le fait qu’elles ont été
expérimentées contre la Palestine. Les appareils répressifs du monde
entier utilisent son matériel et s’inspirent de son efficacité.
Les élections israéliennes d’avril 2019 ont montré que les barrières
morales se sont écroulées. L’électorat approuve de façon nette
l’occupation, l’apartheid et le suprémacisme. Le principal opposant de
Nétanyahou, le général Ganz, auteur de crimes de guerre à Gaza en 2014, a
promis de ramener ce territoire à l’âge de pierre. Quant à la « gauche sioniste », compromise dans tous les crimes contre les Palestiniens, elle n’existe plus.
La Palestine plie mais ne rompt pas
Les fascistes sont divisés. Entre les religieux qui veulent des tests
ADN pour vérifier la judéité des immigrantes et immigrants, et
Lieberman qui veut imposer le service militaire à ces religieux, il n’y a
plus d’accord possible et on revotera à l’automne prochain.
La propagande israélienne essaie de faire taire toute critique en
instrumentalisant l’antisémitisme et le génocide nazi. Cette propagande
fonctionne de moins en moins aux Etats-Unis, où la critique d’Israël se
développe très fortement, y compris dans la communauté juive.
Les moments que vivent les Palestiniens sont terribles. Trump essaie d’asphyxier l’UNRWA [3].
La malnutrition s’ajoute aux pénuries d’eau et d’électricité. Les
richissimes pays arabes ne font rien pour soulager la misère qui
s’installe. Les deux gouvernements palestiniens rivaux ont un
comportement assez honteux, réprimant toute opposition et privilégiant
des intérêts partisans de partis sur toute autre considération.
Pourtant, les Palestiniens et Palestiniennes continuent de faire
société et de croire en l’avenir en éduquant massivement leurs enfants.
Ils refusent d’être des assistés et s’acharnent à essayer de produire.
Le soutien international et le BDS n’ont pas réussi à empêcher cette
merde à paillettes qu’est le concours de l’Eurovision qui a eu lieu à
Tel-Aviv. Mais le BDS aura quand même abouti à ce que cette tentative de
blanchir l’apartheid échoue. Le nombre de visiteurs a été très
inférieur à ce qui se passe habituellement et de très nombreux artistes
dans le monde entier se sont ralliés au boycott culturel.
Quelques jours avant, Nétanyahou avait fait bombarder Gaza. Le fameux « dôme de fer »
offert à Israël par le protecteur états-unien s’est avéré moins
efficace que prévu et les roquettes palestiniennes ont infligé des
pertes non négligeables à l’occupant.
Il dépend de nous que les Palestiniennes Palestiniens tiennent, le
temps que le rapport de force évolue. Résistance non violente,
résistance armée, la résistance est plus qu’un droit, c’est un devoir.
Pierre Stambul (ami d’AL)
L’APARTHEID SANS LIMITES
Entre Méditerranée et Jourdain, il y a environ 50% de Juives et Juifs israéliens et 50 %
de Palestiniennes et Palestiniens. Les premiers possèdent tout : la
terre,
l’eau, le pouvoir politique, les richesses, la puissance militaire. Les
autres n’ont rien. On nous a promenés pendant un quart de siècle avec « les accords d’Oslo », « les deux États vivant côte à côte », « l’Autorité Palestinienne », le « processus de paix » avec tous ses avatars, la « feuille de route », le « quartet » … Tout ce verbiage n’a pas pu masquer un rouleau compresseur colonial impitoyable.
L’occupant a fragmenté la Palestine en autant de sous statuts de
domination : près de 2,5 millions de Palestiniens de Cisjordanie sont
encerclés par les colons. La Cisjordanie est divisée en trois zones (A, B
et C) et Nétanyahou a fait campagne sur l’annexion pure et simple de la
zone C qui couvre plus de 60% du territoire (les blocs de colonies, la
vallée du Jourdain). Les Palestiniennes et Palestiniens qui y vivent
sont soumis à la juridiction militaire avec tout ce que ça signifie :
terres confisquées, agressions permanentes, destructions
d’infrastructures et de villages, expulsions.
À Jérusalem-Est, la judaïsation de la ville s’accélère. Le but est de
priver les Palestiniens de leur statut de résident. Les quartiers
palestiniens sont envahis,
les maisons sont confisquées ou détruites.
Dans la cage de Gaza, les marches du retour se sont multipliées
depuis un an. La population rappelle au monde que le crime originel de
cette guerre, c’est le nettoyage ethnique prémédité de 1948. Au vu et au
su de la « communauté internationale »,
l’armée israélienne a tiré sur les manifestants et manifestantes
désarmées comme à la fête foraine. Près de 300 mort-e-s, des milliers
d’estropiés. Les balles explosives, interdites contre les éléphants,
sont utilisées contre Gaza.
La comédie de « l’État juif et démocratique », de l’Israël d’avant 1967, s’est achevée en 2018 avec le vote par la Knesset de la loi « Israël, État-Nation du peuple juif ».
Ce vote officialise une situation qui existait de fait depuis 1948. Les
Palestiniennes et Palestiniens d’Israël, véritables miraculés d’une
expulsion programmée, sont aujourd’hui officiellement étrangers dans
leur propre pays. Même les druzes, dont Israël a essayé de faire des « collabos »,
se retrouvent ainsi marginalisés. Dans le nord du désert du Néguev, les
destructions de villages bédouins s’accélèrent bien que les Bédouins
palestiniens aient la citoyenneté israélienne et des actes de propriété.
Le « Fonds national juif » a pour projet d’installer des « villes nouvelles juives »
sur leurs terres. On se trouve aujourd’hui clairement dans la situation
d’une lutte anti-apartheid dans un espace qui va de la mer au fleuve.
[1] Tribune de Zeev Sternhell dans Le Monde du 18 février 2018.
[2] Pour plus de détails voir le livre de Pierre Stambul, La Nakba ne sera jamais légitime, Acratie, 2018.
[3] Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient.
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Nous avons appris ce vendredi 14 juin que notre camarade Yannis Youlountas, militant libertaire, cinéaste et débatteur, avait agressé par trois néonazis au Pirée. L’Union Communiste Libertaire lui adresse tout son soutien ainsi qu’à ses proches.
Notice: Trying to access array offset on value of type bool in /home/alternat/glmontpellier/wp-content/themes/uaf-cga-c/framework/post-format/format.php on line 11
Dans une vidéo mise en ligne ce 28 avril, AmnestyFrance revient sur la situation au Brésil alors que le président au pouvoir est ouvertement sexiste, LGBTQIphobe et raciste. Nous vous partageons cette vidéo et affirmons notre solidarité pour les personnes, femmes, noires, indigènes, LGBTQI… qui résistent au « Trump des tropiques ».