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Sans-papiers – Page 7 – Union Communiste Libertaire Montpellier
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Sans-papiers


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    Soirée de clôture du cycle sur l’autogestion avec projection/débat et concert

    15 Mai 2015

    Samedi 23 mai 17 h 30 : Soirée de clôture du cycle sur l’autogestion avec projection/débat et concert

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    Ce n’est pas la mer qui tue, c’est la fermeture des frontières

    25 Avr 2015

    Le 21 avril dernier, 800 migrant-e-s mouraient noyé-e-s dans le naufrage du chalutier qui les transportait clandestinement vers l’Europe. Chaque jour, ce sont des centaines de personnes qui tentent la traversée sur des bateaux épaves. Selon l’Organisation Internationale des Migrations, 1750 personnes ont péri en mer depuis le début de l’année. Le groupe de Montpellier de la Coordination des Groupes Anarchistes affirme sa solidarité avec les migrant-e-s d’où qu’ils-elles viennent et dénonce les politiques répressives de l’Union européenne, responsables de cette situation.

    Ce qui tue, c’est la criminalisation de l’immigration et la fermeture des frontières. Dans le jargon des gouvernants, on appelle ça une politique migratoire.

    Condamné-e-s à l’exploitation et à la clandestinité

    Fermer les frontières, c’est contraindre les migrant-e-s à risquer leur vie sur des routes toujours plus périlleuses à travers le désert puis la mer. C’est les livrer à la merci des trafiquants et des dictatures qu’ils-elles traversent. C’est condamner celles et ceux qui ont réussi à passer à survivre dans la clandestinité, dans la peur des arrestations et de l’expulsion, au mépris de la vie qu’ils-elles ont pu, malgré tout, réussir à construire en Europe. C’est les livrer aux marchands de sommeil quand ce n’est pas, comme à Calais, les reléguer dans des bidonvilles mis en place par l’État. C’est assurer aux exploiteurs de tous poils la présence permanente d’une masse de travailleurs-euses sans droits, et fournir aux politicards une population à stigmatiser, une peur de l’étranger à agiter pour détourner la colère des populations de ceux qui les exploitent vers plus faibles qu’eux.

    Fuir une misère orchestrée par l’Europe

    Fermer les frontières, c’est enfin nier que ce qui force les gens à fuir, c’est la misère, dont est responsable au premier chef le néo colonialisme occidental qui étrangle les pays du sud, par la guerre s’il le faut. Comme après chaque drame du même type, politiciens et grands médias invoquent, pour tarir les flux migratoires, plus de co-développement. De quoi parlent-ils ? Du pillage des ressources au profit d’Areva ou de Total ? Du transfert des infrastructures publiques vers des grands groupes français, comme les ports africains tombés dans l’escarcelle de Bolloré ? Du soutien direct à des dictateurs dévalisant leur propre pays, chargés en échange de maintenir par la force les intérêts français en Afrique ? Du déversement des surplus agricoles sur l’Afrique condamnant les petits paysans à l’exode ? Le premier flux financier des pays du nord vers ceux du sud, c’est l’argent que les migrants eux-mêmes renvoient au pays, alors qu’ils sont condamnés en Europe aux travaux subalternes les plus mal payés.

    Le sommet de la répression

    Réunis en sommet extraordinaire jeudi 23 avril, les chefs d’État et de gouvernement des pays de l’Union européenne ont décidé de répondre à la « tragédie » des naufrages en accentuant les moyens répressifs dont l’Europe forteresse s’était déjà dotée. L’agence Frontex, chargée d’empêcher les bateaux de tenter de rejoindre les côtes européennes, voit son budget tripler pour amplifier ses missions de surveillance, baptisées Triton en Italie et Poséidon en Grèce. Elle est aussi chargée de « mettre en place un nouveau programme de retour en vue d’assurer le retour rapide des migrants clandestins », c’est-à-dire d’accélérer encore les expulsions. Et puisque les migrant-e-s sont considéré-e-s comme des délinquants, la police prendra aussi systématiquement les empreintes digitales des demandeurs d’asile.

    Ensuite, puisque les classes dirigeantes n’ont aucun intérêt au changement, l’Union européenne a trouvé d’autres responsables à punir, les passeurs,comme si les trafiquants qui se sucrent sur la misère étaient la cause, et pas une conséquence. Désormais, les États de l’UE « entreprendront des efforts systématiques en vue d’identifier, capturer et détruire des bateaux avant qu’ils ne soient utilisés par les trafiquants », ce qui suppose des opérations militaires hors des frontières de l’UE. Et qu’importe si ces saisies entraîneront l’utilisation de bateaux toujours en plus mauvais état, multipliant encore les risques de naufrage..

    Des dictatures chiens de garde de l’union européenne

    Pour l’Union européenne, il ne s’agit pas de sauver des vies, seulement que les migrant-e-s aillent mourir loin des caméras : là où beaucoup meurent déjà, lors de la traversée du désert pour rejoindre depuis l’Afrique subsaharienne les côtes de Libye, ou dans les camps des dictatures du Maghreb. Ces dictatures sont par ailleurs grassement payées par l’Europe pour qu’elles contrôlent les frontières à sa place, empêchent les départs, prennent en charge les expulsé-e-s (accords dits de « réadmission »), rapatrient les gens en théorie dans leur pays d’origine même si dans les faits ils-elles sont souvent abandonné-e-s en plein désert. C’est ce que faisait la Libye de Khadafi, chien de garde payée par l’Italie, avant que la guerre menée par les États occidentaux, France en tête, ne condamne le pays au chaos. Aujourd’hui, Égypte, Soudan, Mali, Niger et Tunisie vont recevoir de nouveaux fonds, en tant que sous-traitants de la politique migratoire européenne.

    Quand les frontières seront abolies, plus aucun-e migrant-e ne mourra en mer. Ils et elles prendront un ferry.
    Exigeons la liberté de circulation et d’installation pour toutes et tous.
    Car aucun être humain n’est illégal.

    Groupe Un Autre Futur de la Coordination des Groupes Anarchistes

    Par @@_Xavier_@@ Immigration Sans-papiers

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    L’autogestion : une pratique qui existe, pour changer la société ?

    20 Avr 2015

    Proposer un cycle sur l’autogestion, pourquoi ?

    Parce qu’il nous semble que de nombreuses expériences autogestionnaires existent, portées par des collectifs de personnes soucieuses d’expérimenter des relations humaines basées sur l’entraide, la démocratie directe, la responsabilité, la liberté. Pour autant, ces expériences peuvent exister sans nécessairement viser un changement global de société.

    Tenter de mieux définir la notion d’autogestion, en partant d’une réflexion collective issue de ces différentes expériences peut nous aider à affiner notre propre conception de l’autogestion, à travers des questionnements pratiques immédiats.

    Partager nos pratiques, voir comment peuvent se vivre des basculements politiques, en fonction des contextes, pour parcourir une question : L’expérimentation de rapports sociaux différents, à travers les pratiques d’autogestion, peut-elle amener vers des pratiques autogestionnaires, vécues comme outils et chemin de lutte, dans quelles conditions ?

    Dans un moment où le capitalisme nous fait chèrement payer sa crise, où la réaction et le fascisme ont le vent en poupe, il est important d’explorer les voies pouvant mener vers un indispensable changement social sur des bases émancipatrices.

    Les temps d’échange que nous proposons vont s’appuyer sur des vidéos et des intervenant-e-s pour témoigner d’expériences récentes, issues des champs économiques, sociaux et politiques.

    • Vendredi 1er mai à la Mauvaise Réputation (20 rue Terral)
      • Après la manifestation nous nous retrouverons à la Librairie « La Mauvaise Réputation » pour un repas partagé dans une ambiance musicale.
      • à 14h : « L’autogestion une pratique qui existe »

        Table ronde pour échanger sur les conceptions et les pratiques de l’autogestion avec différents collectifs et organisations la pratiquant et/ou s’en réclamant.

    • Cycle sur l’autogestion, suite du programme :
      • Jeudi 7 mai 19h : L’autogestion, une pratique pour se libérer de l’exploitation économique ?

        L’intervention d’un membre de l’imprimerie SCOPIE (anciennement imprimerie 34) qui fonctionne à Toulouse sur des bases égalitaires et autogestionnaires, viendra nourrir des pistes de réponses à cette question. Il nous parlera des réussites, des intérêts mais aussi des difficultés et des limites de l’expérience vécue hier avec la coopérative Imprimerie 34, qui a compté jusqu’à 30 coopérateurs/coopératrices et aujourd’hui avec Scopie.

      • Un court métrage sur une coopérative de coopératives au Venezuela (« Cecosesola », La coopérative de Barquisimeto, 15 min, 2009, Utopias Projet) et un autre sur une usine récupérée par des travailleuses et travailleurs en Argentine (« IMPA Usine récupérée, cité culturelle », 18 min,2009, Collectif Documental Semillas) participeront à enrichir nos réflexions.

    • Mercredi 13 mai 19h : L’autogestion, une pratique émancipatrice pour les femmes ?

      Projection de « ¿Vos, cόmo trabajàs? »- L’autogestion au féminin 51min, 2011, L. Nabonnand et E. Simon [vostfr] suivie d’un débat.
      Ce documentaire aborde la question spécifique des ouvrières dans le mouvement de récupération des usines en Argentine suite à la crise économique de 2001. Il permet d’aborder les questions d’émancipation des femmes dans un processus autogestionnaire, ses avancées comme ses limites dans le cadre d’une société patriarcale …

    • Samedi 23 mai 17 h 30 :
      • Soirée de clôture du cycle sur l’autogestion avec projection/débat + concert
      • Projection du documentaire « L’autogestion, une révolution économique » suivie d’une discussion. 1h25, 2014, Collectif Documental Semillas

        Ce documentaire suit l’expérience de la FASINPAT, une usine de production de céramique récupérée en Argentine. Les travailleurs et travailleuses de la FASINPAT et quelques intellectuels-les nous expliquent concrètement la mise en place et l’organisation de leur pratique de l’autogestion. Un documentaire passionnant par les questions qu’il pose et les perspectives qu’il ouvre.


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    L’affaire Pandora ou le terrorisme d’état espagnol

    05 Fév 2015

    Voici un article paru le 31 janvier sur indymédia Barcelone
    http://barcelona.indymedia.org/newswire/display/493938/index.php

    Une camarade nous l’a traduit, en voici la version française :

    Le juge Javier Gómez Bermúdez signe la liberté conditionnelle avec un dépôt de 3.000€ pour chacune des sept personnes enfermées dans les prisons à Madrid.

    Elles ont été arrêtées le 16 Décembre et sont restées en prison jusqu’au 30 Janvier. Elles ont passé un mois et demi derrière les barreaux après que la police catalane a pris d’assaut leurs maisons suite à une macro-operation appelée Pandora, qui selon l’État visait au démantèlement d’une prétendue organisation de « terrorisme anarchiste ». Leur libération immédiate, confirmée par des sources judiciaires, s’est faite le même jour que la déclaration du ministère de la Police Autonome de la Catalogne dans la presse décrivant les accusations contre les détenus. Bien que la police catalane voulaient garder le secret de la procédure jusqu’au prochain 22 Février, le juge a soudainement changé d’avis et a refusé de prolonger la recherche en donnant fin à l’emprisonnement des 7 personnes.

    Il est prévu qu’elles puissent quitter les cellules des prisons de Estremera, Soto del Real, Aranjuez et Valdemoro, toutes situées à la périphérie de Madrid, vendredi après-midi. Les preuves de soutien à ces jeunes n’ont pas cessé depuis Décembre. Le jour des raids et arrestations, une manifestation de plus de 3000 personnes a défilé dans les rues de Gràcia. Et, en plein Noël plus de 1500 personnes ont manifesté dans le centre-ville et du Paseig de Gràcia derrière une banderole qui disait : « Les terroristes sont ceux qui nous condamnent à une vie de misère, pas ceux qui se rebellent contre celle-ci ».

    La CNT- AIT avait déjà appelé à un rassemblement dans le courant du mois de janvier puis à nouveau le vendredi 30 janvier à 10h devant le consulat espagnol à Montpellier à ce sujet. Leur tract est joint à cet article.

    Cet article publié sur Contra Info donne quelques éléments sur les accusations à leur encontre, et rappelle que, malgré la libération des 7 camarades, ces accusations restent toujours en place et que des mesures de contrôle judiciaire strictes vont être appliquées. Enfin, deux camardes restent détenu-e-s en prison préventive :


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    CRISES, analyses libertaires – comprendre pour lutter

    21 Sep 2014

    L’objectif de cet ouvrage est de proposer une analyse de la crise et de ses conséquences qui soit accessible à toutes et tous pour permettre à chacun-e se doter d’outils pour décrypter le discours dominant sans se laisser embobiner. Nous pensons que donner une lecture libertaire de ce qui se passe par des personnes qui vivent aussi cette crise est très important pour encourager à réagir et lutter dans une perspective émancipatrice. Il nous semble aussi que s’intéresser à ces questions pose de fait l’urgence de rompre avec le capitalisme et soulève la nécessité révolutionnaire sur des bases libertaires.

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2015/12/crisesanalyseslibertaires.pdf »]


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    Mot à mots : Anarchie

    27 Mar 2014

    Le groupe Un Autre Futur de la Coordination des Groupes Anarchistes relaie l’émission de Radio Pays d’Hérault dédiée à l’anarchisme.

    http://www.rphfm.org/Mot-a-mots-Anarchie.html

    Radio Pays d’Hérault est allée à la rencontre des militant-es du groupe Un Autre Futur de la CGA34 pour en savoir plus sur l’anarchisme. 1h30 d’émission sur l’anarchisme où nombreuses thématiques sont abordées : refus du pouvoir d’État, anticapitalisme, antifascisme, autogestion, anti-électoralisme, anti-racisme, anti-patriarcat, écologisme et analyse de l’actualité.

    Le groupe Un Autre Futur de la Coordination des Groupes Anarchistes

    Par @@_Xavier_@@ Sans-papiers

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    Logement : Non aux expulsions ! Réquisitionnons les logements vides !

    01 Avr 2012

    Reprise des expulsions locatives

    Le 15 mars, comme chaque année, c’est la fin de la « trêve d’hiver ». L’État recommencera à expulser les locataires qui n’arrivent plus à payer leur loyer. C’est plus de 100 000 personnes qui seront jetés à la rue, avec le concours de la « force publique », l’État garantissant le sacro-saint droit à la propriété au détriment des besoins essentiels des prolétaires.

    Avant même cette date, pour les occupants « sans droit ni titre », les expulsions n’ont pas cessé pendant l’hiver, malgré le grand froid.

    Une question de vie ou de mort !

    La question de l’accès au logement est cruciale. Faute de moyens, de nombreuses personnes et de nombreuses familles, au sein des classes populaires, sont contraintes d’habiter dans des logements insalubres, en courant des risques de maladie, d’incendies ou d’intoxications mortelles. L’absence d’accès au logement conduit certaines personnes à dormir dans la rue, dans leur voiture, dans des bidonvilles, et pousse certaines autres au suicide ou à la tentative de suicide.

    C’est le cas à Saint Denis, en banlieue parisienne, mais aussi à Saint-Priest, en banlieue lyonnaise.

    TOUT CELA ALORS QUE DES LOGEMENTS SONT VIDES !

    Le système capitaliste fait passer avant tout le sacro-saint droit de propriété, au détriment des besoins vitaux de la population. Les prolétaires, y compris ceux qui participent directement à la construction de logements, ne peuvent y habiter. L’État se charge de défendre ce droit à la propriété, à tous les niveaux : des municipalités aux préfectures jusqu’au niveau gouvernemental, quelle que soit la couleur politique des gestionnaires du capitalisme, les déclarations hypocrites et compassionnelles concernant les mal-logé-e-s n’empêchent pas les expulsions, au besoin à coup de matraques.

    Dans le même temps, les loyers s’envolent, puisque la spéculation fait rage : les propriétaires organisent la pénurie en gardant des centaines de milliers de logements vacants. Les charges augmentent continuellement, les propriétaires et agences se trouvant en position de force pour racketter les locataires afin d’augmenter leur marge de profit.

    La crise économique accroît les difficultés pour les classes populaires : chômages, gel des salaires, inflation rendent de plus en plus difficile le bouclage les fin de mois.

    Luttons contre les expulsions et la spéculation immobilière !

    Dans ces conditions, il nous faut organiser l’autodéfense sociale

    • par la constitution dans chaque quartier, de comités, de réseaux contre les expulsions
    • par la réquisition directe des logements vides, car l’État n’appliquera jamais sa propre légalité lorsqu’elle contrevient aux intérêts de la bourgeoisie, la loi de 45 permettant les réquisitions,
    • par la solidarité squatter-locataires, contre le racket des propriétaires, car un logement occupé, même sans droit ni titre, c’est un logement qui échappe à la spéculation,
    • par l’organisation des locataires, qui rend possible la grève des loyers et des charges.

    Le 14 mars 2012
    Relations Extérieures
    de la Coordination des Groupes Anarchistes
    Diffusé à Montpellier par le groupe Un Autre Futur
    de la Coordination des Groupes Anarchistes

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2015/12/tract_logement_14032012.pdf »]

    Par @@_Xavier_@@ Anticapitalisme Sans-papiers

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    Contre le racisme construisons un monde sans misère ni frontière !

    26 Mai 2011

    Face au racisme : pas de bons sentiments mais des luttes sur le terrain social !

    Aujourd’hui politiques, lois et pratiques racistes s’affichent de manière décomplexée et sont prédominantes dans le discours ambiant. Loin d’être le fruit du hasard, les politiques racistes et la fascisation des esprits se développent par la régression sociale, le manque d’espoir et de perspectives qui s’en suit. Par conséquent, la lutte contre le racisme, pour être efficace, ne peut se limiter aux démonstrations simplement humanistes. On doit faire le bilan d’un antiracisme qui en 25 ans n’a pas empêché de nous emmener à la situation actuelle. Pour être efficace, nous pensons que l’antiracisme doit intégrer la dimension sociale à sa grille d’analyse pour montrer que nos véritables ennemi-e-s ne sont pas les plus précaires parmi nous (les immigré-e-s) mais nos exploiteurs. La lutte doit donc se mener sur le front social en développant des solidarités de classe.

    Ce n’est pas le président mais c’est la société qu’il faut changer !

    Régression sociale, atomisation de nos vies, menaces environnementales (nucléaire, gaz de schiste, destruction de l’environnement par une logique de profit à court terme), guerres : Il est urgent de renverser le système capitaliste avant qu’il ne se mute en système fasciste. Quel qu’en soit le résultat, les élections présidentielles ne peuvent constituer qu’un changement de personnes de ceux et celles qui gèrent la société, et non un changement de système. Les gouvernements de droite comme de gauche n’ont cessé d’expulser des étrangers et de restreindre toujours plus le droit des immigré-e-s, considérés comme variable d’ajustement du système économique. Le mouvement social en général et le mouvement antiraciste en particulier ne doivent rien attendre de significatif des échéances électorales. Les élections divisent les exploité-e-s entre eux/elles. Les élections délèguent de façon vaine la mission de transformation sociale aux politicien-ne-s. Elles dépensent inutilement l’énergie d’un certain nombre de militant-e-s plus occupé-e-s à obtenir quelques voix pour leur candidat-e que de construire des luttes sur leur lieu de travail et de vie.

    Solidarité avec les sans-papiers : régularisation de toutes les personnes sans-papiers, liberté de circulation et d’installation !

    Et de l’énergie pour ceux et celles qui souhaitent combattre le racisme il y en a à mettre concrètement aux côtés des personnes sans-papiers. A Montpellier comme ailleurs, la situation se dégrade de plus en plus : régularisations en baisse, refus de dépôt collectif de dossiers, lois limitant les possibilités d’accueil et facilitant les expulsions. Le système aujourd’hui s’attache à faire grandir ce sous-prolétariat que sont les immigrées : sans-papiers donc sans droit, ils et elles sont hyperprécarisé-e-s, surexploité-e-s au travail et mènent une vie au rabais toujours sous la menace de l’arrestation et l’expulsion. Loin d’être des profiteurs du système, ils/elles en sont comme nous les victimes mais de façon bien plus prononcée : les luttes sur le terrain social doivent mettre en œuvre cette solidarité de façon concrète et efficace.

    N’oublions pas que ce que l’État applique aujourd’hui aux sans-papiers peut s’appliquer à tous demain si nous laissons ces pratiques se normaliser. Parce que le droit des étrangers est en régression constante, nous devons construire un mouvement populaire et massif pour obtenir la régularisation de toutes les personnes sans-papiers et la liberté de circulation et d’installation.

    Pour un monde égalitaire débarrassé des frontières

    Pour leurs détracteurs, ces revendications ne seraient pas réalistes. Ils ont raison dans un système fondé sur les inégalités et la concurrence entre états et individus : les frontières et le contrôle des flux migratoires sont des outils de guerre économique utilisés par les États au profit de leurs bourgeoisies. Le sentiment national est créé pour obtenir l’adhésion des populations à ce système quand elles auraient intérêt à développer une solidarité internationales entre exploité-e-s.

    Nous pensons matériellement possible et surtout nécessaire de vivre dans un monde où les individus vivent dans une société égalitaire, sans hiérarchie, sans frontières et les oppositions factices qu’elles engendrent, où les décisions sont prises collectivement. Plus facile à dire qu’à faire ? Certainement. Mais pas impossible : Les révolutions dans les pays arabes nous montrent qu’il n’y a pas de forteresse que nous ne pouvons faire tomber.

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2015/12/tract_uaf_-_20110501.pdf »]


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    Alliances patronales, manœuvres électorales, la coupe est pleine ! Renforçons partout les luttes sociales

    28 Avr 2011

    Des retraites au G20, toujours la casse sociale au programme

    Chômage de masse, précarité généralisée, réduction des  protections sociales, dégradation des conditions de travail et de vie, augmentation des prix et salaires en panne ; cela fait plus de 20 ans que la bourgeoisie est à l’offensive pour reprendre aux travailleur-ses les gains conquis par leurs luttes durant le 20ème siècle. L’enjeu pour les patrons est de nous prendre toujours plus de la part des richesses que nous produisons. Mais pour réussir ce hold-up, ils peuvent toujours compter sur l’état, quelle que soit la couleur politique du gouvernement. Car sur tous les fronts, il accompagne, ou même initie comme sur les retraites dernièrement, le pillage de la population au profit des capitalistes. De tout temps, l’état a eu pour fonction de garantir les privilèges des classes dominantes. Lors du G8/G20 qui se tient en France en mai et novembre,  les états les plus riches organiseront les cadres politiques et juridiques internationaux permettant la perpétuation de l’exploitation et l’augmentation des profits des privilégiés.

    Ce n’est pas le président mais c’est la société qu’il faut changer !

    Régression sociale, atomisation de nos vies, menaces environnementales (nucléaire, gaz de schiste), guerres : le capitalisme est un système mortifère qu’il est urgent de renverser. Quel qu’en soit le résultat, les élections présidentielles ne peuvent constituer qu’un changement de personnes de ceux et celles qui gèrent la société, et non un changement de système. Le mouvement social ne doit rien attendre des échéances électorales. Les élections divisent les exploité-e-s entre eux/elles. Elles dépensent inutilement  l’énergie d’un certain nombre de militant-e-s plus occupé-e-s à faire gagner leur candidat-e que de construire des luttes sur leur lieu de travail et de vie. Les élections délèguent de façon vaine la mission de transformation sociale aux politicien-ne-s.

    Face au racisme et au sécuritaire : des luttes pas les urnes !

    Ne laissons donc pas les futures mobilisations sociales être dictées par le calendrier électoral : les luttes doivent avoir comme objectif d’être gagnantes et non de favoriser un climat de grogne au profit de tel ou tel candidat de « gauche ». D’ailleurs à ce jeu, c’est la réaction qui risque d’être gagnante : les politiques racistes et sécuritaires se nourrissent de la régression sociale, ainsi que des luttes perdantes, menées en demi-teintes, et du manque d’espoir et de perspectives qui s’en suit. Là aussi, la lutte contre le racisme, pour être efficace, doit se mener sur le front social pour développer les solidarités de classe et montrer que nos véritables ennemi-e-s ne sont pas les plus précaires parmi nous (les immigré-e-s) mais nos exploiteurs.

    Comme dans les pays arabes, engageons nous dans la voie révolutionnaire

    Répétons le, il y a urgence à mener des luttes gagnantes pour rompre avec le capitalisme si nous ne voulons pas vivre dans une société d’hyper précarité en régime de liberté conditionnelle où repli sur soi, racisme et concurrence sont les seules normes… Pus facile à dire qu’à faire ? Certainement. Mais pas impossible : Mai 68 c’est 10 millions de personnes dans la grève générale, ceux et celles qui s’apprêtent à mettre vainement un bulletin dans l’urne car ils/elles en ont marre de Sarkozy sont bien plus du double … Alors faisons les bons choix, groupons nous pour faire passer le message et reprenons confiance dans notre force collective. Les révolutions des pays arabes nous montrent la voie à suivre. Bon nombre de peuples arabes ont fait le choix de se révolter pour gagner en liberté et en égalité sans attendre le sauveur suprême ou l’homme providentiel. Les exemples tunisiens ou égyptiens nous montrent que face à un peuple déterminé et uni le pouvoir ne peut pas tenir. A nous d’affirmer notre solidarité  avec ces peuples en lutte, en particulier ceux victimes de la répression, et de leur emboîter le pas.

    [gview file= »https://montpellier.unioncommunistelibertaire.org/wp-content/uploads/2015/12/tract_uaf_-_20110501.pdf »]

    Par @@_Xavier_@@ Anticapitalisme Sans-papiers

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    Collectif montpelliérain contre la loi Besson

    03 Sep 2010

    Le groupe Un Autre Futur de la Coordination des Groupes Anarchistes s’investit dans le Collectif 34 contre le projet de Loi Besson.

    Le projet de loi Besson, régime d’exception contre les immigrés ?

    Discours discriminatoire contre les gens du voyage, désignation des étrangers et des personnes d’origine étrangère comme causes de l’insécurité, le Président Sarkozy et Brice Hortefeux s’en prennent à la dignité humaine et au droit des personnes.
    Il en va de même pour le projet de loi « relatif à l’immigration, à l’intégration et à la nationalité » (le sixième depuis 2002 !) d’Eric Besson qui sera présenté en septembre à l’Assemblée. Sous couvert de technicité et de conformité aux directives européennes, ses dispositions dégraderont encore un peu plus la condition des immigrés en France :

    • du seul fait de leur arrivée, les étrangers dépourvus de documents, même demandeurs d’asile, se trouveront ipso facto en zone d’attente, c’est-à-dire enfermés et privés de l’essentiel de leurs droits.
    • la création d’une « interdiction de retour », qui pourra frapper tout étranger en situation irrégulière, institue un véritable bannissement des territoires français et européen. Les conjoints de Français, travailleurs, résidents en France depuis de longues années y seront exposés.
    • en portant la durée de la rétention à 45 jours, en repoussant l’intervention du juge des libertés, en réduisant son pouvoir de contrôle, le gouvernement banalise l’enfermement des étrangers et organise l’impunité de l’administration.

    Bien dans la logique qui a présidé à la création d’un Ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, ce projet de loi est inacceptable et appelle à une large mobilisation.

    Retrait du projet de loi Besson
    Réelle application du droit d’asile
    Régularisation de tous les sans-papiers
    Rejoignez le Collectif Contre le Projet de Loi Besson

    Contact : contact-contreloibesson34_AT_herbesfolles.org
    http://www.contrelaloibesson.org/
    Premiers signataires : Coordination des Comités de Soutien aux Sans-Papiers, CGA 34, CNT UD 34, FASE, NPA 34, RESF 34

    Rendez-vous

    • Mobilisation place Salengro à Montpellier, dans le cadre de « Nuit blanche pour jours sombres »
      vendredi 10 septembre à 19h30
    • Soirée Projection-Débat au cinéma Diagonal Capitole (5 rue de Verdun à Montpellier)
      jeudi 16 septembre à 20h00

      Le collectif montpelliérain contre le projet de loi Besson propose une soirée-débat à partir du film Ulysse clandestin de Thomas Lacoste.
      Nous vous proposons de débattre pour comprendre les enchaînements qui conduisent à cette régression et le contexte dans lequel se déploie un nationalisme dangereux. Le débat sera précédé du film Ulysse clandestin de Thomas Lacoste, produit par La Bande Passante (www.labandepassante.org).
      « Ce film-frontières est un engagement pour un certain nombre de valeurs, simples mais essentielles : hospitalité et accueil, droit d’asile, respect de l’autre et de la différence, du commun et du multiple, du partage et de la redistribution. ». Le document mêle fiction et entretiens avec des sociologues, anthropologues, historiens et philosophes, tous membres du « Collectif pour la suppression du Ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale ».

    • Fin septembre manifestation nationale
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