La présidentielle l’a montré, le système électoral est à bout de souffle. Pour ne plus être confronté·es à de faux choix dont nous ressortons toujours perdant·es, nous ne devons plus déléguer notre pouvoir mais nous organiser collectivement, lutter en favorisant l’organisation à la base la plus démocratique et autogestionnaire possible. Et veiller à l’indépendance syndicale. Contre les fascistes et les capitalistes, ce sont les conditions de notre victoire !