Focus sur la situation sociale au lendemain de la première grève générale
Discussion avec la participation d’un militant de Buenos Aires dans l’organisation anarchiste « Roja y Negra »
L’extrême-droite est au pouvoir en Argentine. Et Milei ne traîne pas. Les premières annonces et mesures de « l’homme à la tronçonneuse » plantent le décor : privatisations, suppressions de postes dans le public, inflation brutale en particulier des prix de l’énergie et des transports, licenciements annoncés, menaces sur le droit à l’avortement et la communauté LGBTI, mesures ultra répressives contre le mouvement social … Le tableau est plus qu’inquiétant. Mais l’Argentine a pour elle une longue histoire de résistance. La grève générale du 24 janvier s’annonce décisive pour jauger la capacité de résistance de la société argentine.
Aussi pour faire le point, un militant de Buenos Aires dans l’organisation anarchiste « Roja y Negra » interviendra en visio conférence à la librairie « La Mauvaise Réputation ». Il brossera un tableau de la situation du pays, des mesures gouvernementales et décrira l’état du rapport de forces entre pouvoir et mouvement social au lendemain de la grève générale, première grande confrontation du mandat.
Une exposition d’affiches féministes argentines sera visible également.
Rendez-vous samedi 27 janvier à 17 heures à la librairie « La Mauvaise Réputation », 20 rue Terral (quartier Saint-Anne) à Montpellier. Entrée libre.