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Infos de l'UCL Montpellier

Esclavage, travail forcé des migrant·e·s… leur exploitation n’a pas de frontière

24 novembre 2017

La diffusion de la vidéo montrant une vente d’esclaves en Libye, filmée par des journalistes de CNN, a mis en lumière un autre aspect du calvaire vécu par les migrant·e·s de par le monde. L’exploitation de ces dernier·e·s ne se limite pas à une région de l’Afrique, mais touche aussi l’Asie et l’Europe.

L’esclavage « classique » n’a jamais disparu.

L’esclavage « classique » a été aboli dans tous les pays du monde depuis 36 ans à peine. La Mauritanie l’interdit officiellement en 1981. Pourtant, ce reportage illustre la persistance de la vente et de l’exploitation d’êtres humains dans le monde. Fragilisé·e·s, isolé·e·s, les migrant·e·s en sont des victimes de choix en Libye, mais aussi le long des frontières à l’est de l’Algérie, et au sud de la Tunisie. Il·elle·s tentent de rejoindre l’Europe, depuis l’Afrique de l’Ouest, et meurent par milliers en chemin. S’il·elle·s parviennent en Europe, la clandestinité, le retour dans leur pays d’origine, l’emprisonnement ou une autre forme d’esclavage les y attend. C’est le cas pour la plupart des autres migrant·e·s, et quelle que soit leur destination : Moyen-Orient, Asie, Europe et Océanie.

L’esclavage « moderne »

Définit comme le pendant contemporain de l’esclavage dit « classique », l’esclavage moderne revêt plusieurs formes d’exploitations : le travail des enfants, les camps de travaux forcés, la servitude pour dette, le travail forcé. La majorité des victimes sont des femmes, et toute une partie de l’économie capitaliste mondiale en dépend. L’Europe n’échappe pas à ce fléau : 600 000 personnes seraient concernées par le travail forcé, en majorité des migrant·e·s.

Près de 40 millions de personnes sont frappées de diverses formes d’esclavage dans le monde, selon Walk Free Foundation.

Les documents à lire sur ce sujet ne manquent pas (voir plus bas), et prouvent que l’esclavage, loin de disparaître, connait un nouvel essor. Par le travail forcé, il se systématise, et participe à l’épanouissement du capitalisme.

 

À lire et à voir :

Par @@_Xavier_@@ Immigration International Non classé Sans-papiers Partager :