Ce premier mai a eu lieu un meeting virtuel de l’Union communiste libertaire. On y parle du coronavirus évidemment, et des batailles politiques que cette crise annonce. On y donne la parole à plusieurs intervenantes et intervenants de différents front de lutte – syndical, féministe, d’entraide sociale.
Pour la première fois depuis 1945, il n’y a pas, en France, de grandes manifestations pour ce jour historique d’affirmation et de revendication qu’est le 1er Mai.
Il y a en revanche diverses formes de manifestations limitées, virtuelles ou physiques, aux fenêtres ou dans la rue, avec la volonté de s’exprimer, de revendiquer, de montrer que le mouvement social n’est pas entre parenthèses, de préparer un déconfinement qui ne soit pas synonyme de résignation.
L’UCL y participe avec un meeting virtuel