Macron, comme ses prédécesseurs, fait le choix de la privatisation des transports avec pour conséquences :
- L’augmentation des inégalités territoriales par la fermeture des petites lignes et de gares.
- L’explosion du prix de nos déplacements.
- La destruction du service public des transports.
- La menace sur la sécurité des usagers.
- La dégradation des conditions de travail des cheminots-es.
CE N’EST PAS NOTRE CHOIX
Le train est un service public et aussi un outil essentiel pour lutter contre la pollution et le réchauffement climatique, l’explosion du trafic routier voyageurs ou marchandises.
À grands coups de propagande médiatique, le gouvernement veut faire passer les cheminot.e.s pour des privilégié.e.s. Pourtant leur statut n’est en rien responsable de la dette.
Ce qui se passe à la SNCF a déjà été expérimenté aux PTT, à EDF et GDF. La logique de rentabilité n’a pas fait baissé les prix et le service rendu à la population s’est dégradé.
Nous nous engageons pour défendre nos services publics et la justice sociale.
Santé (hôpitaux, EPHAD), éducation avec la réforme du bac et la sélection à l’université, autant de secteurs aujourd’hui menacés par la logique capitaliste.
Pour cela la mobilisation des cheminots-es doit gagner et tous-tes ensemble nous devons imposer d’autres choix pour une société plus juste, plus solidaire et respectant l’environnement.
Nous appelons tous-tes les usagers-es, les salariés-es, les étudiants-es et les retraité-es à être solidaires du mouvement des cheminots-es, à donner pour les caisses de grèves, à participer aux prochaines mobilisations
Premiers signataires : Ensemble Hérault, Génération.s,34, Groupe d’appui aux luttes sociales FI, Groupe Un Autre Futur (CGA), Nouvelle Donne34, Nouveau Parti Anticapitaliste34 (NPA)
Rendez-vous :
- 11 heures devant la gare pour une diffusion de tract et une conférence de presse
- 14 heures devant la gare pour le départ de la manifestation de soutien aux chaminot·e·s