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Infos de l'UCL Montpellier

Maintien de l’ordre ou criminalisation de la contestation?

13 avril 2019

A écouter sur France Culture, dans l’émission la Grande Table, l’intervention de Vanessa Codaccioni, maitresse de conférence au département de science politique de l’université Paris VIII et autrice du livre Répression: L’Etat face aux contestations politiques dont voici la quatrième de couverture:

Il ne se passe pas un seul jour sans que des militants ne soient  confrontés à la répression. Violences policières, arrestations, gardes-à-vue et procès rythment aujourd’hui la vie politique et judiciaire.


Aucune forme d’indignation politique n’y échappe : des gilets jaunes aux zadistes en passant par les écologistes, les militants solidaires, les féministes, les lycéens ou celles et ceux qui participent à des manifestations de rue, toutes et tous peuvent être confrontés à la police ou à la justice.


Pour les acteurs de la répression, ce sont des « casseurs », des « délinquants » ou des « terroristes » qui sont visés. Il s’agit d’un déni stratégique dont l’objectif est d’invisibiliser le caractère politique de cette violence d’État et de nier que ce sont pour leurs idées ou leurs actions que des militantes ou militants sont arrêtés, inculpés ou jugés.

En analysant les mécanismes contemporains de la répression, Vanessa Codaccioni dénonce la criminalisation de la contestation politique. Étudiant finement ses principaux dispositifs, elle éclaire l’une de ses logiques majeures : la dépolitisation de l’activisme par son assimilation au terrorisme ou à la criminalité de droit commun.

Maintien de l’ordre ou criminalisation de la contestation ?

Dans l’actualité des idées aujourd’hui, la question du maintien de l’ordre telle qu’elle se pose depuis le mouvement des Gilets Jaunes et au-delà. La France est-elle en train de criminaliser sa contestation ? Notre invitée est la politologue et sociologue Vanessa Codaccioni, à l’occasion de la publication de Répression, l’Etat face aux contestations politiques (Textuel, 3 avril 2019).

Par Sylvain Luttes Sociales Répression Sécuritaire Partager :