Le projet de loi «pour contrôler l’immigration» débattu en procédure rapide au Parlement peut se résumer en quelques mots : criminalisation des étranger·es, radicalisation des pratiques des préfectures, vision utilitariste des exilé·es. Rien n’est bon dans ce projet qui ne fait que renforcer un racisme systémique qui sent bon les relents abjects des périodes coloniales. L’État assume pleinement une politique raciste, sécuritaire et de contrôle des populations. La suite ici.